Vivien
Datte: 20/04/2021,
Catégories:
hh,
intermast,
Masturbation
voisins,
Oral
hsodo,
J’étais étudiant. Je faisais des études de biologie. Je vivais seul dans une petite piaule en plein cœur de la ville. À l’époque je n’avais plus de copine. Vivien était mon voisin de palier, étudiant comme moi mais en psycho. C’était un garçon fragile qui rasait les murs en regardant ses pieds. Lorsque nous nous rencontrions par hasard, il me créditait d’un bonjour furtif avant de se réfugier chez lui. Nous étions voisins depuis bientôt 6 mois mais nos contacts se limitaient à ça. Un être très solitaire, un sauvage. Je ne sais pas ce qui m’attirait chez lui, peut-être le fait qu’il vivait reclus comme moi, peut-être son aspect légèrement efféminé, peut-être aussi son petit cul bien rebondi. Je n’avais jamais fantasmé sur un mec, j’étais tout ce qu’il y a de plus hétéro. Pourtant, cela faisait plusieurs jours que je me masturbais en pensant à lui, en fait depuis que je l’avais croisé chez la logeuse. Il venait payer son loyer tout comme moi. Il était emprunté et malhabile, affublé d’une timidité maladive. Mme Renon, une vieille femme de 65ans, essayait de détendre l’atmosphère. Elle était seule, elle avait simplement besoin de compagnie. Elle nous a gentiment proposé un thé, apparemment surprise en s’apercevant que nous ne nous connaissions pas. Vivien était fils de paysan tout comme moi, originaire des environs de Limoges. Trois sœurs, un peu plus jeunes, l’une d’entre elle était venue un jour lui rendre visite, une petite boulotte les cheveux courts au carré. Moi qui croyais ...
... que c’était sa copine. Pourquoi avait-il fait des études de psycho ? Il essayait d’éluder la question. Apparemment il ne se sentait pas trop bien dans ses baskets. C’est tout ce que j’ai pu apprendre ce jour là. Ah si, il écoutait beaucoup de musique pop, il me proposa même de me prêter des cassettes. Mais ce qui me troubla le plus ce jour là, ce sont ses gestes précieux. Il avait une façon bien à lui de remuer ses mains, de bouger ses bras. Fragile et emprunté, on avait presque envie de lui porter secours. Les mouvements de sa bouche également, l’intonation de sa voix, une petite voix gracile et chantonnante qui sortait entre deux lèvres épaisses et pulpeuses. En remontant l’escalier derrière lui, je me surpris à regarder ses fesses : Il avait un beau petit cul rebondi et une façon toute naturelle de se déhancher. En refermant ma porte, je me suis demandé s’il lui était déjà arrivé de coucher avec un mec, peut-être même de se faire enculer. Dans mon imagination, il devait être homo. De fait ou, au pire homo refoulé. J’ai sorti ma bite et me suis branlé en pensant très fort à lui, à sa bouche pulpeuse, à son petit cul. J’ai joui dans mes doigts et j’ai goûté mon sperme en me demandant comment ce serait de lécher sa bite, d’avaler son foutre. De là à aller frapper chez lui et à lui sauter dessus, j’avais encore un long chemin à faire. La nuit suivante, nu dans mon lit, j’ai mouillé mes doigts et me les suis enfoncé entre les fesses, pour voir comment ça faisait. Ensuite je me ...