Vivien
Datte: 20/04/2021,
Catégories:
hh,
intermast,
Masturbation
voisins,
Oral
hsodo,
... en pj. Moi également d’ailleurs. Si nous étions des femmes, ce serait plus facile, nous pourrions nous gouiner, nous n’aurions pas peur de toute cette sensualité. Vers cinq heures je me suis rhabillé, j’ai guetté un bruit sur le pallier. Le jeudi soir il finissait vers 17h30, je le savais parce moi-aussi et c’était souvent ce jour là que nous nous disions bonjour dans l’escalier. Enfin j’ai entendu la clef, et la porte a couiné. J’ai attendu encore, je voulais lui laisser le temps de rentrer, de poser ses affaires… Je voulais surtout me laisser encore un peu de temps. J’avais rejoué mille fois la scène mais je ne savais toujours pas comment j’allais l’aborder. J’ai traversé le pallier, j’avais l’impression d’aller à l’abattoir, et j’ai frappé doucement à la porte. Il a ouvert et son visage s’est illuminé. Je crois qu’il a été presque sur le point de me faire la bise comme si j’eusse été de sa famille mais au dernier moment il s’est retenu. — Vas-y, rentre.— Je suis venu te rendre les cassettes.— Oh, ce n’était pas pressé. Tu en veux d’autres ? Tu as aimé ?— Oui, il y a des trucs sympas.— Installe-toi sur le lit. Ça te dirait de boire un thé ? J’aurais préféré une bière ou même un whisky mais va pour le thé. Je le regardais s’affairer autour de son petit réchaud. C’est vrai qu’il avait de la grâce et un joli petit cul. J’aurais bien eu envie de caresser ses fesses, elles n’étaient qu’à deux mètres, mais pourtant inaccessibles. Il a rempli les deux mazagrans et est venu ...
... s’asseoir près de moi sur le lit. Nous buvions la tisane en silence. Il était tout près de moi, je sentais presque sa chaleur irradier. Imperceptiblement, je me suis rapproché, ma jambe frôlait presque la sienne. (« Allez, un peu de courage, il faut se lancer »). Mon bras pesait une tonne, il lui a fallu une heure pour emmener ma main sur sa cuisse. Voilà qui était fait et aucun cataclysme ne s’était abattu sur mes épaules. Cela me donna un semblant d’assurance, je me tournai vers lui, il regardait ailleurs : — Vivien, souvent je m’endors en pensant à toi.— C’est vrai ? (Comme si des choses comme ça pouvaient être fausses.)— Je crois bien que je suis attiré par toi ? Il se redressa et ses yeux osèrent affronter les miens. Il me gratifia à nouveau d’un large sourire : — Rien ne pourrait me faire plus plaisir Matthieu. C’est dingue, nous n’étions qu’à quelques centimètres et, malgré toutes ces révélations nous ne parvenions toujours pas à nous embrasser. Il n’y avait que ce contact de ma main sur sa cuisse et sa main à lui qui s’était posée sur la mienne. — Je trouve qu’il fait un peu froid, ça te dirait de venir au lit contre moi ? Sans plus attendre, il s’est relevé, il a passé du côté droit, il a ôté son pantalon, ses chaussettes, a retiré son pull et, une fois en slip, il s’est glissé sous les draps. Pour ma part, j’avais tout juste eu le temps de délasser mes chaussures. — Allez, dépêche-toi, je te promets, je te regarde pas, je ferme les yeux. Je me suis finalement mis moi aussi ...