Bad day
Datte: 20/04/2021,
Catégories:
fh,
médical,
bizarre,
hotel,
fdomine,
Oral
pénétratio,
attache,
humour,
policier,
... gorilles la regardent en bavant. — Le patron vieillit, murmure-t-elle en provoquant les bœufs, il m’a tout juste excitée… Elle se caresse la poitrine en passant sa langue sur ses lèvres. — Je crois que j’ai encore très envie de grosses queues bien dures… Les quatre parasites se marrent à nouveau comme des baleines. L’un d’entre eux me décoche un ultime coup de latte en me précisant : — On finira avec toi dans quelques minutes. Et tandis que face à eux, la greluche continue son cinoche, ils entreprennent de s’avancer vers elle en ouvrant leur ben pour nous gratifier de leur virilité. Mais ils ne devaient pas s’attendre à la suite… Moi non plus, d’ailleurs… En à peine quelques secondes, la bombe sexuelle passe une main derrière son dos, sort un flingue qu’elle avait dû coincer dans l’élastique de sa culotte, et vidant son chargeur dans un délire de détonations endiablées, aligne tout raides mes quatre têtes de nœud qui s’écroulent dans une mare de sang sous mes yeux ahuris. — Ça va ? Pas trop de bobos ? me demande la belle quand elle a fini son carton.— Non, c’est parfait, je ne me suis jamais senti mieux ! Elle ne répond rien, pose son flingue sur une commode, où elle prend également les clés des menottes qui me retiennent prisonnier, puis s’approche de moi en prenant soin de ne pas marcher dans les flaques d’hémoglobine par terre. — Vous pouvez vous lever ? s’inquiète-t-elle après m’avoir libéré.— Pourquoi vous faites ça ? lui demandé-je en retour en matant ses seins.— ...
... J’aime bien votre queue, répond-elle en riant. Sans comprendre, je la regarde s’éloigner vers la chambre où elle s’est tapé le big boss. J’essaye rapidement de faire tourner mes méninges, mais ça patine. Je me lève, avec peine. Ça va être coton : j’ai vraiment mal au bide. Je manque de me croûter au premier pas. — Attendez, j’arrive, je vais vous aider, me crie la tueuse depuis la chambre. J’attends, donc. En essayant de réfléchir. Se peut-il qu’elle soit vraiment de la police ? Ou d’une bande rivale ? Elle revient finalement, rhabillée de son jean et de son chemisier, un mouchoir à la main avec lequel elle va astiquer le flingue. — Je vais encore juste reposer ça et j’arrive. Essayez de pas marcher dans le sang, ça glisse. Elle s’éloigne de nouveau quelques secondes puis reparaît. — Et le vieux ? demandé-je en désignant la chambre.— Il a clamsé, tout seul, quand on baisait. Crise cardiaque, sans doute. Il vieillissait, vraiment… Comme je comprends toujours que dalle, j’insiste : — Vous… vous êtes de la police ? Elle prend un air pas joice et un autre flingue : — Encore une insulte de ce genre et je vais regretter de pas vous avoir buté aussi…— Mais je pige pas : pourquoi vous avez tué ces mecs ? M’épaulant de mon côté valide, elle me soutient jusqu’à la sortie de l’appartement. — S’ils s’étaient aperçus que le patron avait clamsé dans mes bras, c’est sans doute moi qui aurais passé un mauvais quart d’heure. Et le type qui va diriger la Camora désormais ne me porte pas franchement ...