1. Bad day


    Datte: 20/04/2021, Catégories: fh, médical, bizarre, hotel, fdomine, Oral pénétratio, attache, humour, policier,

    ... dans son cœur. Il fallait agir vite ; je me suis dit que c’était l’occasion de changer de vie. Je l’écoute en hallucinant et en tentant de pas me péter la gueule à chaque mouvement. Elle me guide jusqu’à sa berline noire. — Et comme j’aime vraiment bien votre queue…— J’en suis fort aise.— Je me suis dit que c’était la bonne occasion : une nouvelle vie, un nouveau mec, avec une super bite et soixante-dix millions de côté… Au risque de me faire buter, je préfère ne rien dire quant au fait que je n’ai qu’à peine cinq fois moins. — Bon… et… qu’est-ce qu’on fait, maintenant ? demandé-je après m’être péniblement installé sur le siège passager. Elle démarre en trombe. — Je vais passer chez moi, j’ai quelques affaires à prendre, et ensuite, il faut qu’on quitte le pays. Vous avez un passeport ?— Euh… oui… mais on peut peut-être se tutoyer, après tout ça, non ? Elle me lance simplement un regard en coin et un sourire que je ne sais pas franchement comment interpréter. — Tu as un passeport ? J’acquiesce. — Et un portable ? Il faut les jeter. Tu dois déjà être recherché, à cause de ta disparition de l’hôpital.— Comment tu m’as trouvé ?— Comme je te l’ai dit. Je savais que tu reviendrais à un moment ou à un autre chez Marco. C’est lui qui vous a trahis, tes amis et toi.— Et à l’hôpital ?— Les flics ne sont pas très discrets, surtout si on sait un peu les arroser. Je soupire, agacé, chagriné, meurtri de partout, dedans et dehors. Je suis sous la coupe d’une bombe sexuelle qui m’a déjà ...
    ... trois fois de suite retourné la situation de fond en comble. Est-ce que je dois me fier à elle ? Mon silence doit être pesant car elle finit par demander : — Tu ne me fais pas confiance ? C’est la deuxième fois que j’ai l’impression qu’elle lit dans mes pensées. Je réfléchis un instant avant de répondre, pour faire en sorte de ne pas franchement dire non. — Euh… c’est-à-dire que… depuis que je te connais, tu as buté tous les mecs que nous avons croisés… Elle éclate de rire. — Et ça te fait marrer, en plus ?— Oui, je suis désolée, mais oui. Si ça peut te rassurer, c’étaient tous des méchants, des pourris. C’étaient tous ces types, les responsables de la mort de tes amis et d’une bonne centaine d’innocents.— Ouais, je sais bien, mais…— Bah, t’en fais pas, je te promets de plus toucher à un flingue et de plus tuer qui que ce soit aussitôt qu’on aura quitté le pays.— Parce que ? D’ici là il peut encore nous arriver des merdes ? Elle ne répond pas. — Pourtant j’ai déjà été bien loti, aujourd’hui, niveau embrouilles…— Il me reste juste une ou deux bricoles à régler et après, promis, c’est fini.— Des bricoles ? Un moment, de nouveau, elle garde le silence, tout en garant la berline dans une ruelle chic du centre, au pied d’un hôtel avec plein d’étoiles. — Il nous faut des papiers, des billets d’avion, et du fric. Du fric, j’en ai à la pelle, mais je ne vais pas tout de suite le lui rappeler. Si elle a d’autres plans, c’est bien. Elle ouvre la portière après avoir pris soin de cacher ...
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