1. Bad day


    Datte: 20/04/2021, Catégories: fh, médical, bizarre, hotel, fdomine, Oral pénétratio, attache, humour, policier,

    ... quoi, ses gestes sont désordonnés ; elle me fout soudain un grand coup sur le bide. Cette saloperie de robot est capable de me castrer sans le faire exprès. Je m’écarte vivement et arrache l’aiguille de perfusion. — Détendez-vous, monsieur Shank, beugle-t-elle encore en agitant vivement sa main, comme si elle me masturbait, mais dans le vide. Je la laisse branler du vent et la contourne pour aller ramasser le flingue du débile étendu par terre, auquel je fous un grand coup de pied au passage. — J’aime sentir votre gros sexe, raconte encore l’autre folle d’une voix sans doute censée être provocante.— Ouais, ouais, ouais… Je vais attraper mes fringues dans la petite armoire et les enfile aussi vite que possible avec mon bras en carafe et ma tête qui me fait mal de nouveau. Le robot s’est tourné vers moi et tente de s’approcher en chancelant et en zigzaguant. — J’ai envie de sentir votre sperme s’écouler sur mes doigts. Je réponds même plus. Je lui dépose gentiment ma chemise de nuit sur la tête ; elle essaie un moment de l’enlever mais se pète la gueule. Bon, allez, j’arrête de m’occuper de cette cruche, il faut que je me tire. Je suis pas en sécurité, ici. Je sais pas trop où j’y serai, d’ailleurs, mais faut de toute façon que je commence par me barrer de cet hosto. Et vu comme ça a été facile pour l’autre connard d’y entrer avec un gros flingue, ça devrait pas être bien dur d’en sortir. Je lui refous justement un grand coup de latte dans les côtes, pour la forme, avant de ...
    ... sortir de la piaule, le flingue coincé entre mon fute et ma taille, recouvert de mon tee-shirt, et avec toujours mon bras dans le plâtre et ma tête emmitouflée. Penses-tu qu’y aurait un quelconque gugusse ou une autre infirmière qui essaieraient de me retenir ? Deux ou trois me demandent ce que je fais ; je leur raconte que je me promène avant de retourner dans ma chambre et ils sont ravis. Et je sors tranquillement par une issue de secours. Il faut que je chope un taxi, que je me tire des environs. Ça m’étonnerait que l’autre guignol ait agi seul ; il doit avoir des potes en planque dans le coin. Je marche en baissant la tête d’un air affairé, jusqu’à un gros boulevard. Quand j’aperçois un tacot se pointer, je lève la main à son attention. Il s’arrête ; je monte. — Où voulez-vous aller, monsieur ? J’en sais rien. Chez moi, mais c’est sans doute pas une bonne idée. Si ces salauds ont été capables de me retrouver à l’hosto, ils doivent déjà avoir fait le vide dans mon appart. — Peut-être que je devrais vous emmener à l’hôpital, monsieur, m’informe encore le taximan en considérant longuement mon bras et ma tête ensachés.— Non, non, c’est bon, j’en sors. Mais putain, où aller ? Mes potes sont morts ; mon peu de famille doit déjà être surveillée… Les flics ? Mais ça voudrait dire qu’il faut que je leur raconte tout notre super coup. Non merci. — Euh… avenue des Trois Vallées, au bar « la Tempête », s’il vous plaît.— C’est parti. Ça m’est venu d’un seul coup, comme un flash ! Y a que ...
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