Bad day
Datte: 20/04/2021,
Catégories:
fh,
médical,
bizarre,
hotel,
fdomine,
Oral
pénétratio,
attache,
humour,
policier,
... préférez le central de police ? Ou les bureaux de la Camora ? Je garde évidemment le silence. — Votre histoire de millions m’intéresse, chuchote-t-elle. Je la contemple, abasourdi. Elle m’adresse un sourire mutin et me dévore de ses yeux flamboyants, avant de reprendre : — Et puis il y a autre chose qui m’intéresse… *** — Vous comprenez bien que je doive vous attacher, Gufti, n’est-ce pas ? Ça ne m’amuse pas franchement d’être menotté à un fauteuil, surtout avec mon plâtre, mais, oui, ça, à la rigueur, je le comprends à peu près. Ce que je ne capte pas, c’est plutôt pourquoi elle se désape lentement devant moi… Son chemisier, d’abord, qui révèle un push-up noir comprimant ses deux seins merveilleux… Son jean et sa culotte, ensuite… Ses cuisses magnifiques et ses courbes enchanteresses qu’elle effleure en se déhanchant langoureusement… — Je vous plais, Gufti ? J’ai beau être convalescent, l’effet est très net. Elle s’approche pour le constater d’une main entre mes jambes, puis continue un instant à se caresser, libérant sa lourde poitrine à quelques centimètres de mon visage, avant de s’agenouiller devant moi pour déboutonner et abaisser mon pantalon. — Hmmm ! Et ça non plus, ça n’est pas très réglementaire… chuchote-t-elle en extirpant ma queue bandée à tout rompre. Il ne faut pas un permis pour un engin de cette taille ? Je soupire d’envie et de désir. — En tout cas, je vais me régaler ! Elle me suce quelques minutes avec passion, se délectant de mes gémissements ...
... d’extase, puis se redresse pour venir s’asseoir à califourchon sur mes cuisses, s’empalant d’un mouvement puissant sur mon sexe qu’elle a maintenu tendu au-dessous de son corps. *** — Aaaahh ! J’ai vraiment adoré ! Je peine à m’en remettre, remarque. L’insatiable inspectrice en connaît un rayon, niveau cul. Et toujours, je peine à gauler pourquoi elle fait ça. — Ça fait longtemps que j’avais pas pris un tel pied. Mais remarquez, avec une bite comme ça, vous n’avez pas beaucoup de mérite… La salope me pique au vif. — Détache-moi et je te ferai jouir dix fois plus que ça !— Hmmm… mouais, on verra ce soir.— Hein ? Mais tu vas me garder là jusqu’à quand ? Elle prend soudain un air sombre et me répond d’une voix sévère : — Jusqu’à ce que vous m’ayez rendu les soixante-dix millions !— Hein ? Je capte pas, là. Je suis pris d’un grand coup de flippe, même. — Que… tu… vous… qui êtes-vous ? Elle éclate de rire devant la tronche décontenancée que je dois lui afficher. — Je m’appelle Johanna, je vous l’ai dit. Mais je ne suis pas vraiment inspectrice de police… En fait, je travaille pour l’organisation que vous avez eu l’affront de voler.— Mais… je… Je suis interrompu par un bruit de porte. Cinq types entrent soudain, affublés de grosses lunettes et d’impers noirs. L’un d’eux, un petit vieux excité qui doit probablement être le chef, se marre en matant ma bite, et m’explique ensuite calmement : — Notre belle Johanna prend beaucoup de plaisir à baiser avec nos condamnés à mort. Je déglutis ...