1. Il a besoin de ça


    Datte: 20/04/2021, Catégories: f, fh, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, hdanus, couple,

    ... de son adaptation en film. Je n’ai jamais rêvé de partager mon copain ou ma copine… Je veux être l’objet d’attention de l’autre, oui, mais aussi être celle qui le ou la fait jouir. Non, deux hommes, ça ne me fait pas bander. Et deux filles aussi, ça serait le bordel, je crois. La seule situation à trois qui me fait fantasmer serait plutôt d’être au centre d’un couple qui s’occuperait de moi. — Je veux être là si tu couches avec une fille.— Et si elle ne veut pas ?— Alors je regarderai.— Et si je n’ai pas envie de me donner en spectacle ?— Je veux être là quand même. Si tu fais ça dans mon dos alors tu me trompes et je te quitte.— Direct ?— Direct. Ta valise dehors. La porte fermée. Ou bien je me vengerai en couchant avec une autre quand tu rentres.— Punaise… Moi je serais contente pour toi si tu couchais avec une autre, tant que tu te protèges. Après, j’ai pas forcément envie de le savoir.— T’es bizarre ! Gaby place doucement ses doigts sur mon bouton tout en décrivant son fantasme. J’écoute même si je ne suis pas d’accord avec tout. Je ferme les yeux et j’imagine bien ce que je pourrais faire avec une femme, mais sans lui. Le drap devient humide sous moi. Une sensation trop forte. Je repousse sa main. — Pourquoi tu m’arrêtes ?— J’ai peur, c’est trop…— Arrête d’avoir peur. Je veux te donner un maximum de plaisir. Même si parfois je pense à d’autres filles, c’est à toi que je fais l’amour. C’est toi que j’ai choisie. C’est toi que j’aime. Il trouve toujours les mots qui me ...
    ... font chavirer. Je ressens la même chose, mais je ne peux pas le lui dire. Je peux désirer le monde entier, j’aime Gaby. Avec lui, j’ai envie de construire un futur. J’enserre son torse de mes bras et me blottis contre lui pour cacher mes larmes. Je suis moche quand je pleure, quoi qu’il en dise. — Tu sais que t’es magnifique ?— Non— Je suis un menteur alors ?— Non, c’est pas ça. Je ne m’aime pas, c’est tout.— Laisse-toi aller Mes genoux s’écartent. J’agrippe toujours mon amour, je pétris son dos. Son doigt glisse à nouveau sur mes lèvres humides et revient encore et encore sur le bouton sensible. Un cri m’échappe et coule de mes lèvres, puis un autre. Je me sens qu’une vanne lâche quelque part en moi. Tout mon corps est comme secoué, je ne contrôle rien des spasmes qui me traversent du bout de son doigt à la racine de mes cheveux. Je sais juste que je m’accroche de toutes mes forces et que je couine comme jamais. Comme si toute cette montée de tension explosait tout à coup. J’ai besoin de reprendre mon souffle. Gaby me regarde, émerveillé. Je le regarde, effarée. Comment peut-il me donner plus de plaisir que moi-même ? Comment peut-il me faire jouir aussi fort ? Est-ce que je retiens mon plaisir avec mes masturbations routinières ? J’enfile un caleçon de pyjama propre. Monsieur me tourne le dos. Il aime sentir que je me colle à lui, que je plaque mes seins contre son dos, que nos courbes s’épousent. Nous voilà emboîtés, moi derrière lui. SI quelqu’un avait l’idée tordue de ...