Il a besoin de ça
Datte: 20/04/2021,
Catégories:
f,
fh,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
hdanus,
couple,
... glisser une feuille de papier à cigarette entre nous il ne pourrait pas. — Si tu en avais une, j’aurais mal, lance-t-il, content de sa blague qu’il sort pour la énième fois Amusée, je mime quelques coups de bassin. — Tu me prends pour une fille ou quoi ? ajoute-t-il.— Ah, tu veux vraiment savoir ce que je ferais à une fille ? En cet instant, je ne sais ce qui me prend. Peut-être d’avoir échauffé mon esprit en imaginant des jolies filles, peut-être le plaisir intense de la masturbation qu’il m’a procuré… Je ferme les yeux et Gaby devient une femme, Gaby est une femme à ce moment précis. Je respire sa nuque, caressant doucement son épaule, puis sa poitrine. J’ose introduire un doigt dans sa bouche, jouant avec sa langue et ses lèvres. Puis ma main descend le long de son dos, parcourant la ligne jusqu’à ses fesses. Ma bouche aspire le creux de son cou. Mes yeux se ferment. Ma cuisse s’insère entre ses jambes pour les écarter. Mes doigts s’approchent dangereusement de son orifice. La pulpe de mon majeur va jusqu’à se poser sur le seuil. Ma provocation va loin. Il va protester. Il va dire « Hé ho ! Mon trou de sortie est un trou de sortie ! », ou quelque chose du genre. Étrangement Gaby ne dit rien. Sa respiration n’est pas tranquille. Je ne vois pas son visage, je ne sais pas comment interpréter son silence. Je prends soudain peur. Peur de ma soudaine hardiesse. Peur d’abuser. Peur de lui faire mal. Peur de le choquer. Non ce n’est pas une femme, c’est mon mec ! Monsieur hétéro ...
... 100 %. Monsieur macho. Monsieur traditions Vieille France. Qu’est-ce qui me prend ? En un mouvement je fais volte-face et m’enroule d’un coup sec dans la couette. Vite que je m’éloigne, que je revienne à la réalité. — Qu’est-ce que tu fais ?— Rien, désolée. Je suis désolée, je vais me calmer, je sais pas ce qui m’a pris ! Gaby se retourne à son tour et saisit fermement mon épaule pour me faire pivoter. — Continue, ne t’arrête pas comme ça !— J’écarquille les yeux et le fixe, incrédule.— Finis ce que tu as commencé, m’intime-t-il.— Tu es sûr ?— Oui ! Je découvre une nouvelle facette de toi, c’est très excitant. À ces mots, je me redresse dans le lit, le fais se mettre sur le dos, cuisses écartées. J’ignore sa requête d’ôter mon calbut et j’écarte mes jambes pour qu’il maintienne les siennes ouvertes. Il est à ma merci. J’enserre son sexe dans ma main et commence à lui prodiguer une caresse buccale, pas trop profonde pour ne pas me filer la nausée. Je m’attarde sur le gland, donnant des coups de langue par-ci, par-là, n’avalant pas ma salive pour qu’elle coule sur ses bourses. Puis je descends lécher le sillon dur plus bas, de plus en plus bas, jusqu’à son anus. Ma pointe de langue décrit des cercles puis des diagonales (ou peut-être des diamètres), des rayons, des spirales. Trêve de géométrie, allons droit au but. Mes phalanges s’enfoncent dans sa chair, écartant la fente de son auguste postérieur. Les dix-sept muscles de ma langue se contractent pour appuyer au centre de la ...