L'orage
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... ne veux pas courir de risque, désormais, tu m'empêches de m'endormir après » . « Oui maman » Elle tourne les talons et s'en va à ses affaires pendant que je reprends les miennes. La soirée fut longue avant le coucher, mais au moment de se mettre au lit, je la suis dans sa chambre et notre duo d'amour reprend dans son lit spacieux et douillet où nous baisons jusqu'à fort tard. Cette fois, maman garde toute sa lucidité et la salle de bains aura sa visite trois fois ce soir là. Je m'endors comme une masse, exténué par les efforts fournis tout au long de la journée. * Octobre nous surprend par sa fraîcheur, il nous faut un peu de chauffage dans l'appartement, maman me demande de faire la corvée de charbon qui en principe est dévolue à mon père quand il est là. Mais pour l'heure, je suis l'homme de la maison, je l'ai prouvé et le prouve à tout instant. C'est donc sans rechigner que je m'empare du seau pour descendre à la cave de l'immeuble chercher de quoi nous chauffer. C'est le soir et la nuit est déjà là, j'ai allumé la minuterie pour éclairer chichement le couloir qui descend dans les profondeurs de la maison. La cave est cet endroit obscur et mystérieux où l'on stocke tout ce qui ne sert plus mais « on ne sait jamais », il m'attire comme un aimant, il y a là, je le sens, des choses mystérieuses au coin de ces couloirs étroits et oppressants. J'en suis là de mes réflexions lorsque tout à coup je butte contre quelqu'un, relevant le nez j'aperçois madame Lefait qui paraît ...
... aussi surprise que moi. « Pardon madame, excusez moi » je lui bredouille mes excuses en reprenant mes esprits. « Décidément, ça devient une habitude de se rencontrer ! » me lance-t-elle pendant que je regarde cette femme belle et encore désirable qui alimente mes fantasmes nocturnes. Elle me sourit tout en barrant mon chemin vers notre cave, « Tu as beaucoup grandi ces jours-ci, te voilà un homme maintenant. Comme le temps passe mon petit Jean-Alain ! ». Je ne sais que répondre et la regarde sans dire un mot. « Tu t'occupes du charbon, c'est bien, tu es fort, un vrai homme maintenant ! » et se penchant vers moi comme pour une confidence elle me lance « Et tu t 'occupes bien de ta maman aussi ! ». Je sens le rouge de la panique me monter au visage, une violente poussée d'adrénaline me tétanise sur place. Madame Lefait se rend compte de mon trouble et vient vite à mon secours, « N'aies pas peur, je ne dirais jamais à personne de ce que j'entends souvent depuis chez moi, je crois que tu lui fais beaucoup de bien à ta maman. ». Je la regarde, terrorisé par sa découverte, mais madame Lefait sourit avec beaucoup de bienveillance. C'est le moment que choisit la minuterie pour s'éteindre et nous laisser dans le noir presque total. J'ai un mouvement pour aller à la recherche de l'interrupteur mais madame Lefait m'arrête en me retenant le bras. Je la regarde surpris, et distingue un sourire sur son visage clair. Sa main lâche mon bras et je la sens presque aussitôt sur ma braguette. ...