L'orage
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... puisse réagir me voilà planté dans son ventre et c'est encore elle d'un coup de reins qui enfonce ma queue dans les profondeurs de son vagin. Elle pousse carrément un cri de volupté quand mon gland glisse dans ses profondeurs jusqu'aux portes de l'utérus. Je suis planté en elle mais c'est elle qui me baise en quelque sorte. Elle a mis ses mains sur mes reins et pousse aussi fort que lui permet sa position. Je prends enfin l'initiative de quelques coups de reins qui attirent encore dans sa gorge des sons rauques de jouissance, je me demande comment cela va finir tant elle exprime bruyamment son contentement. Je me sens trempé de sa mouille qui se mêle à mes poils pubiens, le liquide s'étale entre mes jambes et je sens que mes cuisses sont grasses de cette substance. Je commence doucement à aller et venir dans cette chatte brûlante de désir longtemps contenu, provoquant un gémissement continu dans la bouche de ma partenaire. Elle miaule comme un chaton qui appellerait sa mère, c'est un étrange concert de sons inarticulés qui sort de sa bouche. Après quelques temps je m'aperçois que je peux moduler ses miaulements en fonction de mes coups de bite, si je les donne avec langueur, la tonalité est douce, mais si je force mes coups de reins et baratte avec ardeur, les cris deviennent plus aigus ou plus forts. Je m'applique à faire monter crescendo la voix de madame Lefait, attentif aux sons qui sortent de sa bouche, nous rythmons nos efforts et je m'active de plus en plus vite sur ...
... son ventre tandis qu'elle brame son plaisir dans la chambre conjugale. Je sens comme de l'étonnement dans sa façon de crier son plaisir au fur et à mesure que je la pine. Elle manifeste sa surprise par des « Ohhh » des « Ahhhh » des « Ohhh oui, ohhh oui, ohhh oui !! » quand mon gland s'enfonce dans les profondeurs trempées de sa chatte. De temps en temps le cri est plus aigu quand je touche le col de l'utérus et elle a un petit sursaut pour me signifier la petite douleur que le lui procure alors. Son vagin se contracte instinctivement autour de ma bite et la sensation de ce fourreau étroit autour de mon sexe est délicieuse. Madame Lefait est complètement dans son délire, soumise au piston de chair qui la fouille, je la sens hors du temps et du monde, j'en profite pour la regarder mieux, son visage semble avoir perdu dix ans, détendu et extasié, elle appelle la jouissance qui va l'emporter. Je me penche à son oreille « Tu veux maintenant ? » la réponse vient immédiatement « Oui, oui, maintenant, donne moi tout, maintenant !! », « Tu veux mon sperme ? », « Oh oui donne le moi, donne moi tout ! ». Je m'active plus fort en elle, elle crie de plus belle et ses gémissement me stimulent. Mes coups de reins ébranlent son corps tout entier, je pilonne sa chatte dans un bruit obscène de fluides corporels chassés brutalement par ma queue. Plus question de ménager son utérus, mon gland butte au fond en lui tirant à chaque fois de plaintes qui excite ma rage de cul. J'ai l'air mauvais, je ...