L'orage
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... Ma queue échappe à ses fesses, mon gland est violet par le frottement qu'il a subit, il n'est guère propre, couvert de matière fécale. Quand une femme ne s'y est pas préparé s'est un risque à courir. Je ne veux pas rester ainsi, je me lève et cours vers la salle de bains. Lorsque je reviens, Jacqueline est toujours en travers du lit, magnifiquement indécente. Elle a les cuisses ouvertes et je peux me rendre juge de l'importance de sa mouille. Une large flaque orne le drap en dessous d'elle et de son ventre à ses cuisses elle est mouillée de sa cyprine. En me voyant revenir, elle lève un regard vers moi « Ah ! voilà le bandit, violeur de dames ! », « Je n'ai violé personne ! » lui rétorque-je. « Si, si tu as violé mon cul ! » me répond elle en se levant d'un bond pour aller à son tour dans la salle de bains. Je reste seul et perplexe, je n'ai vraiment pas eu l'impression de la violer, si cela avait été le cas elle se serait débattu et jamais je n'aurais pu entrer dans son cul comme je l'ai fait. S'il est un exercice qui requiert l'adhésion de la partenaire, il me semble que c'est bien celui-là. C'est du moins ainsi que je vois les choses. Quand elle revient, elle a enfilé un peignoir qui me cache son aguichante personne. Je le regrette mais je sais que maintenant, elle me redemandera de lui refaire l'amour. Jacqueline est fatiguée, je le vois aux cernes qui entourent ses yeux bleus. Elle ne porte plus sur moi ce regard ironique qui était le sien, mais une reconnaissance et ...
... une sorte d'admiration peuvent s'y lire. « Tu reviendras ? » lance-t-elle soudain, « Si tu veux », « Oui je le veux, tu m'as fait tellement de bien ! ». « Et ton mari ? », « Oh ! celui-là ! » dit elle désinvolte et désabusée. Je comprends alors que tout ne va pas pour le mieux entre eux. Elle ne doit pas être à jour de câlins la petite dame Lefait, c'est ce que je me dis tout de suite et cela augure bien de la suite de nos relations . Reste le cas de maman, si elle vient à apprendre que je baise aussi la dame du dessus, elle risque de ne pas apprécier, plus d'ailleurs pour de complications éventuelles que pour une histoire de jalousie. Il me faut plus que jamais de la prudence. C'est ce que j'explique à Jacqueline assis sur le lit. Elle m'assure de son entière discrétion, elle non plus ne tenant pas à voir ce genre de relation se populariser dans le quartier. Nous nous quittons sur cet accord de complicité et je dois reprendre le chemin inverse, également sans faire de bruit comme à l'aller et je descend les marches sur la pointe des pieds. Je crois qu'il faut que j'aille retrouver mon copain Jean-Louis, j'en ai grandement besoin. * Le soir je retrouve l'appartement et maman toujours aussi morose. Nous parlons de tout et de rien, je crains qu'elle ne me parle de la voisine du dessus car je pense qu'elle a du entendre ses cris de jouissance cet après midi. Je suis sur mes gardes mais rien ne vient comme si elle n'avait rien entendu. Après le dîner, je retourne à ma chambre pour ...