L'orage
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... fait pas, j'essaierai encore demain, il sera peut-être mieux disposé qu'aujourd'hui, et s'il ne veut rien savoir, je demanderai une autre adresse ». Brave maman, qui essaie de me protéger de ses ennuis par tous les moyens. Il n'en reste pas moins que ce soir est triste et pluvieux comme l'hiver qui vient vers nous à grands pas. Dans un mois et demi ce sera Noël, papa sera là, ce devrait être la fête, se sera peut-être le drame de notre vie. Maman a senti la profondeur de ma tristesse, elle est plus maîtresse de ses sentiments, « Allons ! », elle se lève et vient à moi toujours sur ma chaise. Elle prend ma tête dans ses mains et me serre contre sa poitrine, j'étouffe à demi coincé entre la chair généreuse et dilatée de ses seins. Sa chaleur réchauffe un peu mon optimisme, assez pour avoir à ce moment des pensées sensuelles. Ses seins sont tendus dans le soutien-gorge, je saisis à quel point ils repoussent le tissus léger qui les retient. Il me vient un début de bandaison, mes bras enserrent la taille de maman, je la retiens à mon tour contre moi et lui caresse doucement les fesses. Mes mains descendent encore le long de ses cuisses sur sa jupe jusqu'à le limite du tissus, je sens sous ma paume le fin nylon de ses bas. Mes mains remontent le long de ses jambes et entraînent la jupe avec elles, j'atteins la limite des bas, voici la chair chaude de sa cuisse où court une courte jarretelle jusqu'à sa gaine. Ma bouche embrasse ses seins à travers son corsage, je la sens qui se ...
... laisse aller entre mes bras, trop d'émotion, trop de lassitude, ont eu raison de sa résistance, je la sens prête à succomber à mes fantaisies, sans doute en a-t-elle aussi envie pour oublier cette pénible journée. Mes mains sous sa jupe lui palpe son fessier ferme sous mes doigts, elles courent sur sa peau de ses cuisses à ses hanches en réchauffant la chair et le désir. Je le sens bien rien qu'à son souffle plus haletant. Je sors mes mains pour dégrafer sa jupe qui choit sur le plancher, son corsage en un tourne main suit le même chemin, enfin sa combinaison vole par dessus sa tête et maman est devant moi en sous vêtements. Je me lève à mon tour pour la regarder mieux, je la trouve belle, ses seins dilatés par sa grossesse dardent plus que jamais et menacent la fragilité du soutien-gorge de dentelle qui leur sert d'écrin, le spectacle est à la fois charmant et infiniment érotique. Est ce une idée que je me fais, il me semble voir son ventre plus bombé que de coutume dans la gaine de couleur chair qui l'enserre, je refuse cette idée de voir grossir son ventre, elle s'aperçoit de mon trouble et me prend dans ses bras. « Viens » me souffle-t-elle à mon oreille alors qu'elle me guide jusqu'à sa chambre. Nous nous abattons sur le lit, enlacés et plus que jamais avides l'un de l'autre. Commence alors la plus folle nuit que n'ayons jamais eue. Sans plus attendre, j'arrache mes vêtements et nu comme à mon premier jour je fonds sur elle et la chevauche. Ses cuisses s'ouvrent et mon sexe ...