1. L'orage


    Datte: 21/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... n'en pouvais plus de douleur et je l'ai supplié de s'arrêter un instant. Il a consenti à suspendre sa pénétration et s'est mis à me peloter les seins pendant ce temps. Je serrais les dents en essayant de surmonter ma douleur. Au bout d'un temps qui m'a parut très long, la douleur a semblé diminuer et l'homme a jugé que cela suffisait, il a poussé un grand coup et j'ai cru qu'il me déchirait pour de bon. J'ai hurlé tant la brûlure fut intense. Mais il n'en tint pas compte et commença à me pistonner avec vigueur. Sous lui je tentais de m'échapper et criais de souffrance sans attirer la pitié de mon bourreau. Il m'a limé ainsi sans relâche pendant une demie heure qui m'a parut un siècle avant d'éjaculer dans mes profondeurs. J'ai accueilli son sperme avec soulagement, il me lubrifiait en même temps qu'il annonçait la fin du supplice. En effet l'homme n'a pas tarder à se retirer, mais en reculant il a appelé quelqu'un qui était derrière nous et nous épiait. C'était son fils, il lui a dit de venir et de profiter de l'occasion qui était offerte. Le fils ne le s'est pas fait dire deux fois, il était déjà en moi et me limait férocement. Heureusement il était moins membré que son père et je le laissais faire avec soulagement. Il a éjaculé une première fois et a continué jusqu'à une seconde éruption de sperme. Après cela, les deux hommes ont jugé que je pouvais m'en aller, ils ont porté le tissus jusqu'au vélo et m'ont regardé partir, ensembles sur le pas de leur porte. J'avais très ...
    ... mal aux fesses et ne pouvais m'asseoir sur la selle, ils ont ricané dans mon dos en me voyant partir ainsi en danseuse sur mon vélo. Sans doute était on au courant dans le village, les hommes me regardaient passer avec un air ironique, ce fut l'humiliation de ma vie. » Pendant que j'écoute cette confession, je suis toujours dans son ventre et l'évocation de l'aventure a fait gonfler mon sexe. Imperceptiblement d'abord mes reins se mettent en mouvement, et de plus en plus franchement au fur et à mesure que maman déroule son récit. J'ai l'impression d'être le marchand de tissus qui s'acharne sur son cul, ma queue, dure comme un bâton de buis perfore le trou sombre de son anus. « Comme tu as du avoir mal ! » je m'exclame quand elle a fini. « La douleur ne m'a pas quitté d'une semaine entière, j'avais beaucoup de mal à me tenir assise. » « Et mamie, qu'est ce qu'elle a dit ? » « Oh ! rien, elle n'a rien dit mais je savais rien qu'à sa façon de me regarder qu'elle devinait ce qui c'était passé, et par la suite je ne suis jamais retourné chez le marchand de tissus » « Est ce que tu veux dire qu'elle savait ce qu'elle faisait en t 'envoyant là-bas ? » « J'y ai pensé sans jamais oser rien demander, le poids des tabous est très fort de par chez nous tu le sais bien. Mais j'ai bien l'impression d'avoir été l'objet d 'un marchandage. D'ailleurs plusieurs personnes m'ont confié s'être acquitté de leur dette de cette façon, c'était monnaie courante dans le pays ». Maman me fait bander comme ...
«12...129130131...145»