L'orage
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... part du chauffeur. Celui-ci nous a vu arriver et se précipite pour ouvrir la portière, maman parvient à se glisser dans le taxi. Je fais le tour pour m'asseoir près d'elle sur le siège et nous voilà parti pour le voyage de retour. Le chauffeur nous regarde dans son rétroviseur, il ne dit rien, nous non plus, maman a trop mal pour dire quoi que ce soit et je suis dépassé par cette expédition au pays de toutes les hypocrisies. Le voyage semble plus court qu'à l'aller, nous retrouvons nos rues familières les unes après les autres avant de retrouver enfin la notre. Le taxi s'arrête devant la porte de l'immeuble, maman paye la course et entreprend de descendre de la voiture. Autre moment difficile mais maman serre les dents et nous voilà sur le trottoir, juste quand madame Lefait arrive elle aussi. « Je vais vous aider ! » dit elle à maman en lui prenant le bras pour l'aider à monter les escaliers. Montée pénible, longue et douloureuse. Maman est très pâle et sur le point de défaillir à tout instant. La montée n'en finit plus malgré les encouragements de madame Lefait. Enfin, nous voici au terme de nos tourments, j'ai précédé les deux femmes pour ouvrir la porte de l'appartement et maman arrive enfin à son lit où elle s'effondre. Madame Lefait lui demande si elle veut quelque chose, « Oui, un thé. » répond elle. Nous nous affairons dans la cuisine pour faire un thé à ma mère. « Elle a avorté ? » me souffle madame Lefait, « Oui et ce n'est pas sans mal ! », « Je me doute, elle a ...
... l'air de souffrir. » Je porte le thé à maman et madame Lefait se retire, je la remercie et avant de s'en aller, elle me flatte la braguette comme l'autre jour dans l'escalier. « A bientôt ! » me souffle-t-elle en refermant la porte. Je me retourne auprès de ma mère allongée sur son lit de douleur. Elle me sourit douloureusement, « Demain, cela ira mieux. » « Je ne voudrais pas que tu souffres autant ! » « Ne t'inquiète pas cela passera, laisse moi me reposer maintenant, va te reposer toi aussi. » Je la laisse et referme doucement la porte. Une vaste fatigue s'abat tout à coup sur mes épaules et je n'ai que le temps de rejoindre mon lit et de m'y allonger avant de perdre connaissance. * La première semaine est dure, maman ressent de violentes douleurs au ventre, je fais de mon mieux pour lui apporter aide et confort. Madame lefait, qui est maintenant dans notre confidence, lui apporte quotidiennement ce dont elle a besoin et compatit fort à sa douleur. Puis avec le temps le mal recule petit à petit et maman reprend pied dans la vie de tous les jours , d'abord avec précautions, péniblement, puis avec plus d'assurance au fil des jours. Moi, je continue de vivre comme avant, le Mercredi, j'attends que les scouts soient partis vers de nouvelles aventures et je vais rejoindre leur mère. Nous passons des moments délicieusement érotiques dans le grand lit conjugal, madame Lefait, Jacqueline, finissant mon apprentissage si bien commencé auprès de ma mère. Elle me suce divinement, moi je ...