L'orage
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... cuisses ouvertes tandis que le reste des son corps est caché, juste sa fente qui soit offerte. Tout à l'heure il lui suffira de rabattre sa robe et rien, si ce n'est son vêtement un peu froissé, ne laissera soupçonner se qui déroule en ce moment même dans cette chambre. Elle pourrait aller ainsi, seul son sexe se souviendrait de l'étreinte, englué de mon sperme et de sa mouille et sa culotte seule serait imbibée de nos humidités. Mais je sais déjà qu'il n'en sera pas ainsi, à peine aurai-je versé en elle ma liqueur qu'elle me repoussera pour courir vers sa douche Marel comme on court vers son sauveur. Tout à coup une haine incontrôlée m'envahit, j'aimerais tant que nous restions enlacés l'un à l'autre pendant de longs instants, mais il y a cette crainte terrorisante qui la fait bondir hors du lit et fuir, cassant toute tendresse entre nous. Ma rage froide me rend toute ma lucidité, je regarde ma mère panteler sous moi, elle est ma chose et je vais la faire jouir comme jamais elle n'a joui jusqu'à ce jour. Mon désir est sous contrôle, mes yeux bien ouverts la regardent tandis que je commence à me mouvoir imperceptiblement. Je l'ai saisi aux épaules pour bien assurer ma prise et empêcher la moindre dérobade. Mes reins se mettent en marchent, un peu comme le train tout à l'heure, lentement mais puissamment et de plus en plus vite. Maman commence à gémir doucement tout en se mordant les lèvres, sa tête est rejetée en arrière et tout son corps s'est raidi. Ma cadence accélère et ...
... je ne peux m'empêcher de penser à ce train qui file à travers le paysage en emportant mon père. Ma queue pilonne furieusement son vagin en un bruit de succion obscène et ses gémissements sont de plus en plus fréquents. Elle tortille son bassin pour échapper au plaisir qui l'envahit mais je la maintiens fermement et pèse sur elle de toute mes forces. La cadence de mes reins se stabilise tout comme le rythme syncopé des roues ses les rails, j'ai le bruit dans ma tête et mon corps suit la musique ferroviaire tandis que j'observe maman qui ahane sous moi. Son visage est crispé sous le plaisir qui s'insinue en elle petit à petit. Elle mord ses lèvres pour ne pas crier mais le plaisir l'emporte et le râle sourd qu'elle émet rejoint le rythme de mes reins qui la martèlent. J'ai plus que jamais l'image du train devant les yeux et la silhouette de mon père se superpose à mon fantasme, je le vois dans un coin du wagon, il a ouvert son journal et semble plongé dans la lecture des nouvelles. Oui, c'est cela, il lit les nouvelles du monde pendant que je baise sa femme. Il ne sait rien de la turpitude qui se trame dès qu'il a le dos tourné, rien des étreintes qui nous unissent maman et moi, rien de ces séances d'amour sauvages où ma mère se donne sans retenue au plaisir que je lui procure. « Je baise Maman, oui Papa, je la saute et lui met tout ce que je peux de toute mes forces et de toute la puissance dont mon sexe soit capable. Je crois qu'elle aime bien ces séances là où je la prends, ...