1. L'orage


    Datte: 21/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... fais ! Oh mon dieu comme tu m'excites ! je vais jouir moi aussi ! ». Je laisse monter son plaisir au gré de mes mains et de ma bite qui oeuvrent pour son nirvana : mes reins enfoncent mon dard dans ses tripes et mes doigts agacent les pointes sensibles de ses nichons que je sens prêts à éclater de bonheur. Sa jouissance est aussi subite qu'imprévue : maman lance un long son rauque et douloureux, profondément érotique. Un son qui n'a rien d'humain mais vient de loin à travers l 'univers du plaisir. Elle reprend bruyamment son souffle comme le plongeur resté trop longtemps en apnée et relance son cri de nulle part. Elle me fait peur tant sa jouissance est intense, elle se tord sur le lit et semble m'échapper et puis se met à murmurer à mon oreille « Vas-y met moi ton foutre, vas-y, donne moi ton jus de bite, donne moi tes spermatozoïdes, je veux tout en moi, donne, donne ! ». Son dernier mot est un ordre et je m'empresse de lâcher la vanne de mon plaisir pour me répandre aussi loin que me permet ma queue dans le colon de maman. Son délire continue pendant que le foutre se répand en elle, « Oui mon garçon, oui, donne à ta mère ce qu'il y a de meilleur en toi, je veux te vider complètement, pomper tes couilles pour qu'il n'y reste plus rien pour d'autres femmes, je veux tout ton jus, toujours, même si je dois avorter tous les mois, j'ai trop de plaisir à sentir ton sexe dans mon ventre ! ». « Maman, maman ! » je bégaye, la rejoignant dans son délire érotique, serrant la chair de ...
    ... ses seins à lui faire mal. « Je te donnerai toujours tout le jus de ma bite, c'est promis ! ». La dessus, elle s'abat sur le lit telle une masse et s'effondre en sanglots longs et inextinguibles. Je ne sais plus que faire tant les larmes affluent à ses yeux noyés de brume. J'ai l'air con à coté de cette femme qui a cherché un instant l'échappatoire à son drame. Timidement je lui mets la main sur l'épaule et essaie de l'attirer dans mes bras, elle résiste, j'insiste, elle cède et tombe au creux de ma poitrine où mes bras se referment sur son corps. Elle continue à sangloter au creux de mon épaule, tout son être est secoué par les larmes et je finis de la rejoindre dans son désespoir. C'est ainsi que nous trouvons un sommeil lourd et perturbé qui finit par nous engloutir dans son néant. * Le lendemain matin, lorsque j'ouvre les yeux, maman est toujours dans mes bras, elle est belle quand elle dort ainsi. Dans la nuit, elle a fini de se débarrasser de ses dessous que je n'avais pas ôté et elle gît nue au creux de mon corps. Le contact de son épiderme me provoque une nouvelle érection matinale sans que je puisse rien contrôler et voilà mon sexe dur qui pousse contre son flanc. Maman soupire, son réveil n'est pas loin et il lui vient un début de conscience, elle appuie davantage son flanc contre mon sexe et en reconnaît la fermeté. Ses bras m'enlacent, elle se retourne sur le dos et m'entraîne à sa suite. Aussitôt ses cuisses s'ouvrent et je glisse entre elles. Mon gland n'a aucun ...
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