L'orage
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... marches jusqu'à la porte entr'ouverte où madame Lefait m'attend. Nous ne perdons pas de temps et nous voilà nus tous les deux en train de baiser dans son grand lit. Je baise allègrement, sans retenue, variant les positions de ma partenaire qui ne rechigne pas à la besogne. Successivement je jouis en elle par devant, en levrette, une fois dans son cul après qu'elle m'ait prodigué la plus belle fellation que je n'ai jamais eue. « Tu suces merveilleusement ! » ne puis-je m'empêcher de lui dire après avoir joui dans sa bouche. « J'ai une longue habitude, le père Lefait a été mon professeur. » « Raconte moi ! » J'ai envie d'en savoir plus sur cette vie conjugale qui me paraît mystérieuse entre cet homme sur le retour et cette femme encore bien jeune. « J'avais seize ans quand il m'a prise comme apprentie à la quincaillerie, lui il avait déjà vingt neuf ans et était célibataire. Tout de suite j'ai vu qu'il en voulait à mon cul, dès les premiers jours il avait l'œil luisant rivé à ma poitrine où à mon cul quand je tournais le dos. Rapidement il m'a fait la cour à sa façon, c'est à dire avec la main aux fesses à chaque instant. J'ai résisté comme j'ai pu, j'ai même failli partir, et puis j'ai vu le parti que je pourrais en tirer, je me suis laissée mettre la main sous la jupe et de fil en aiguille… » « Il était un peu salaud comme patron ! » « Oh ! bien plus, un vrai obsédé, il exigeait que le suce chaque matin et chaque soir, c'est pourquoi je le fais si bien aujourd'hui ! c'est ...
... que Monsieur était exigeant et connaisseur, il a été un professeur sans indulgence. Les pipes, il adorait ça, il fallait le pomper à chaque instant. » « Tu ne disais rien ? » « Que pouvais-je dire ? j'avais accepté d'une certaine façon, j'étais sur une pente fatale car les pipes bientôt ne suffirent plus, il mettait la main sous la jupe, me caressait les cuisses et plus haut. J'avais un mal fou à contenir sa lubricité. J'étais jeune, inconsciente, j'aurais du fuir et je ne l'ai pas fait. Lui, il a pris ça pour une acceptation tacite et a continué de plus belle, et c'est ainsi qu'un jour j'ai perdu mon pucelage sur la table de l'arrière boutique, entre les outils de jardin et un cent de clous. Il était fou d'excitation le père, je crois que rien ne l'aurait arrêté ce jour là. Il m'a sauté sans trop se préoccuper de moi, j'ai eu mal bien sur mais il s'en est pas préoccupé et m'a baisé à la hussarde. J'avais du sang partout, j'avais mal et je serrais les dents pour ne pas crier pendant que sa queue ma perçait la chatte à grands coups de reins. Quel gâchis ! j'en ai eu honte pendant longtemps de m'être donné ainsi à cet homme qui ne voulait qu'une chose : me sauter. » « Et après ? » « Après, hé bien il a continué, rien ne l'arrêtait et on baisait matin et soir, parfois ça le prenait en plein après midi et il me fourrait au fond de la remise. Même quand j'avais mes règles il fallait qu'il y aille, un vrai lapin de garenne. A ce régime je n'ai pas tardé à ne plus les avoir, mes ...