L'orage
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... de la prendre et de la prendre encore. Nous nous excitions sur ses seins lourds et gonflés de lait, lui tétant le surplus qui coulait de ses mamelles, nous la bourrions par tous les bouts et elle en voulait encore. Nous avons fini épuisés tous les trois en fin de journée. Elle a ressentit les premières douleurs le soir même, dans la nuit j'ai entendu du remue ménage dans l'escalier, et à l'aube, le père Lefait nous a déclaré fièrement être le papa d'une petite fille prénommée Aline pesant 3kg et se portant bien ainsi que la maman. J'ai ressentis une drôle d'impression, j'avais grandi d'un seul coup et Jean-Louis ne compris jamais pourquoi. Maman elle, plus intuitive, m'a regardé d'une autre façon, il y avait comme de la mélancolie dans son regard. Je ne fus plus qu'un long frisson qui glaça mon corps de la tête aux pieds, tout mon être se concentra dans ma queue raidie à l'extrême plongée dans la chaleur sans fin qui l'accueillait. Les muscles tout autour pulsaient et pressaient cette épée de sang plantée en leur centre, qui se battait furieusement, plongeant et plongeant encore, à chaque fois plus conquérante, intrépide, dictatoriale, forçant le conduit brûlant d'une sève torride. Mes reins pulsèrent encore une fois et mon membre se figea au fond du vagin vaincu et envahi de ma chair, mon corps eut une secousse dont l'épicentre était au fond de l'instinct humain. Une vague passa mon corps délivrant un flot ininterrompu de sperme dont le flux semblait intarissable, les ...
... spasmes emportaient toute raison avec eux, le liquide fécond se répandait infiniment et il me semblait que cette jouissance ne finirait jamais. Lorsque la marée sembla se tarir, je sentis une dernière vague monter en moi et mon gland vomit encore de sa fertile semence au réceptacle repu qui n'en pouvait plus et laissait sourdre au dehors des ruisseaux couleur de crème. Ma bite toujours figée était encore dure comme si elle ne voulait pas abdiquer, orgueilleusement plantée au beau milieu de la fente toutes lèvres ouvertes, labourée et vaincue dans cette joute inégale, et qu'elle savait perdu d'avance. Mais qui pourrait parler de défaite quand c'est la vie qui triomphe de toute façon ? La vie qui s'insinue par le labyrinthe des corps, entre l'offrande et la demande, entre désir et consentement, entre cuisses ouvertes et dard planté. Mon sexe palpitait encore tant ma jouissance avait été immense, il ne se résolvait pas à se rétreindre et restait là planté en elle. Je me risquais encore à quelques coups de reins qui remirent le feu à mon sexe et tirèrent des gémissements à celle qui était sous moi, je pris cela pour des encouragements et barattais de plus belle le vagin déjà si plein de ma sève. Cette fois je ne reteins pas plus longtemps, ouvrant les vannes aux flots de fluides liquoreux qui couraient au fond du sexe chaud qui ne pouvait que baver hors de lui ce trop plein de semence. Etait-ce alors un soupir d'extase, de fatigue ou de résignation quand ma mère exhala un « O mon Dieu ...