L'orage
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... aller ses jambes à leur guise. Son mont de vénus est enflé, ses poils pubiens crissent sous le tissus de la chemise de nuit, je perçois le friselis de sa touffe sous ma paume qui passe dessus et pénètre entre ses cuisses à la rencontre de la chair molle de ses lèvres. Je palpe son sexe dont je sens la chaleur irradier sous ma peau, je frotte légèrement, maman soupire, elle a fermé les yeux, ses cuisses sont accueillantes et s'écartent au fur et à mesure de ma progression. Elle se laisse faire, je soulève la chemise de nuit et découvre son sexe. Mes doigts caressent les bords enflés de sa fente. Peu à peu mes caresses écartent les lèvres pour sentir la chaleur moite du vagin. Elle m'attire à elle, toujours les yeux clos, je bascule contre son corps, elle m'attire encore et je suis sur elle, je la chevauche. Ses cuisses se sont grandes ouvertes et mon bas ventre glisse entre ses jambes. Mon sexe est contre le sien, j'en sens la chaleur et l'humidité. Elle m'enserre de ses bras à m'étouffer, ses cuisses me retiennent pendant que son souffle est fiévreux et saccadé. Sa main s'en va à la recherche de ma bite cachée entre nos corps, prestement elle la saisit et la guide entre les lèvres de sa chatte. Ses deux mains sur mes fesses elle m'attire à elle et avance ses reins. Brusquement sa fente s'ouvre sous la double poussée et mon membre s'y précipite aidé par le lubrifiant que sécrètent ses muqueuses. Sans avoir donné le moindre coup de rein je suis en elle profondément planté, la ...
... queue brûlante de sa chaleur intime. Elle exhale un soupir, les yeux toujours clos. Un sourire effleure le coin de ses lèvres, nous ne bougeons plus de peur de casser ce moment unique et exceptionnel. Ma queue fichée en elle palpite d'émotion, ses muscles vaginaux enserrent le membre intrus qui la fouille. Nos souffles courts s'emmêlent tant nos bouches sont proches et ouvertes sous le terrible sentiment qui nous traverse. Je ressens sa respiration tremblante sur mon visage et n'ose plus bouger un seul de mes muscles. Si je m'écoutais je partirai vite tant est vive la tension entre nous, mais je suis comme paralysé, incapable d'un battement de paupière. Et puis maman me retient entre ses cuisses, ses jambes se sont refermé sur mon corps, je ne fais plus qu'un avec elle. Très lentement je sens un mouvement à peine esquissé, ses reins bougent et c'est presque imperceptible. Un mouvement de vague très lent presque sans amplitude commence à mouvoir mon corps de haut en bas. Maman me regarde tandis que ses reins vont et viennent avec une lenteur qui me fait penser que le temps a changé de dimension. Son souffle est toujours plus saccadé alors que ses mouvements s'amplifient. Ma queue bouge maintenant sans que je puisse définir si cela est son fait ou le mien. Nos corps s'harmonisent dans le mouvement gracieux que nous nous imprimons l'un à l'autre, nous nous cherchons et nous trouvons sans le vouloir en un synchronisme naturel, comme une danse initiatique et instinctive. Mes reins ...