L'orage
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... je sens palpiter ses nichons pendant qu'elle se tortille. Ses fesses aussi remuent et viennent agacer ma queue qui frotte contre son cul. Je tente de sentir ses tétons à travers le corsage et le soutien-gorge, j'ai réussi à pincer le gauche entre mon pouce et mon index, je le roule entre mes doigts. Elle essaie encore de se débattre, elle gémit encore et ce n'est plus tout à fait le même gémissement, il est plus désespéré, plus soumis. Elle se tortille pour m'échapper mais je la tiens bien désormais, j'ai saisi l'autre téton qui roule sous mes doigts, c'est une caresse érotique que je lui pratique maintenant. Maman réagit rapidement à mes attouchements, ses cris sont ceux d'une femme excitée par un male. Je viens de redécouvrir combien ses seins sont sensibles à la caresse, je sens ses tétons aussi durs que ma queue sous mes doigts. « Salaud ! » souffle-t-elle. Je la laisse dire et la pelote de plus belle, « Salaud de gosse, tu me veux ? hé bien tu m'auras ! viens dans la chambre ». Nous courons plus que nous marchons, dans la chambre je lui arrache presque le corsage, fais jaillir ses seins hors des bonnets du soutien-gorge, je tète ses mamelons dressés et rouges de mes agacements tandis qu'elle gémit, le souffle court et enfiévré. Pendant que je me penche sur sa poitrine, mes mains courent sur sa jupe, je caresse ses cuisses, entraînant la jupe vers le haut, la limite des bas, sa chair nue, ses jarretelles, ses fesses serrées dans la gaine qui lui prend la taille. ...
... J'écarte ses cuisses, ma main force le passage vers sa fente, j'ai la surprise de la sentir déjà humide, sa culotte est mouillée de sa cyprine. J'ai son souffle tremblotant au creux de mon oreille « Saligot ! tu n'es qu'un saligot, n'as tu pas honte de toucher ta mère comme tu le fais ? », je redresse un instant la tête pour la regarder dans les yeux, « c'est toi qui m'a montré le chemin ». Mes paroles tombent de ma bouche, je fixe son regard, elle me regarde un instant avant de fermer les yeux « Je sais, je n'aurais pas du, c'est trop tard maintenant, je suis perdue, oh ! ta main, ta main, oh ! tu me fais du bien ! ». « Tu vois que tu aimes ça, laisse toi faire, écarte un peu plus tes cuisses je veux te branler mieux, te faire mouiller ta culotte encore plus ». Elle ouvre ses cuisses, docile sous mes caresses de plus en plus curieuses de son intimité. J'ai repoussé la culotte sur son aine pour accéder librement à sa chatte, je sens sa touffe grasse de mouille tout au long de sa fente. Mes doigts s'enfoncent entre ses jambes, j'atteins son anus, je palpe le bourrelet de chair qui défend son cul. Elle sursaute et se dérobe à mon attouchement, « Ne me touche pas là, je ne suis pas une putain ! » me lance-t-elle. Sans insister et sans trop comprendre, je reviens à la fente qui bave tant et plus. Mes mains partent à la recherche de la fermeture de sa jupe, je m'énerve à faire descendre le zip et quand j'y parviens, la jupe choit à ses pieds. J'en profite pour la défaire du corsage qui ...