1. De chaudes études - 5


    Datte: 21/04/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, copains, profélève, laid(e)s, école, Oral

    ... retrouvé son naturel et son charme des jours précédents. Dieu du ciel ! Et c’est moi qui dis ça ? Normalement, c’est moi qu’il devrait chercher à saouler… mais il ne pouvait pas s’attendre à tomber sur plus fort que lui. Quoi qu’il en soit, nous avons fait honneur à la volaille rôtie et au pack de bières, et à présent nous rions joyeusement, légèrement éméchés. La musique continue à nous bercer et à réchauffer l’atmosphère, et soudain, au beau milieu d’une blague, nos regards se croisent. Ce n’est pas nouveau, nous nous sommes déjà vus de nombreuses fois dans les yeux, mais à cet instant, il y a une sorte de gêne qui s’installe et qui stoppe nos rires. Je crois que nous avons atteint le point critique… l’alcool, le jazz, ma tenue et son physique, tous ces éléments ont fini par faire leur effet. Nos doigts se rencontrent sur la table, se frôlent puis se touchent plus intimement, s’empoignent et nous attirent l’un vers l’autre, presque indépendamment de notre volonté. Nous nous levons doucement et ce sont nos lèvres qui viennent à présent se rencontrer, nos bouches se collant l’une à l’autre pour permettre à nos langues d’entamer une valse langoureuse. Contournant la table, nous venons nous placer face à face et, plongeant une ultime fois mes yeux dans les siens, je saute à son cou alors qu’il m’attire à lui entre ses bras puissants. Comme ses mains sont douces et fortes ! Il me plaque contre son torse musclé, dont je peux sentir l’odeur forte et musquée à travers le tee-shirt. ...
    ... Il me serre de plus en plus fort et écrase ses lèvres sur les miennes, pris d’une véritable frénésie. Il ne se détache de ma bouche que pour venir butiner tout mon visage de baisers passionnés, que je lui rends tant que je peux en promenant ma langue sur son large cou. Il sent si bon, si fort… il sent le mâle ! Mes mains tâtent ses pectoraux saillants, tandis que les siennes se sont glissées sur ma taille puis sur mes hanches, qu’elles pétrissent amoureusement ; et, d’un coup, il me soulève avec une force et une douceur infinies, pour me déposer sur le lit voisin. Il s’allonge sur moi et continue ses caresses, de plus en plus pressantes et insistantes, tandis qu’étant un peu plus libre de mes mouvements je m’occupe de lui ôter son tee-shirt pour contempler le buste viril au-dessus de moi. Dans la foulée, je dégrafe aussi les bretelles de ma robe et offre mes seins à la merci de mon bel amant, qui y enfouit ses mains et son visage ; sa langue explore en long et en large la vallée de ma poitrine, en contourne les douces et amples collines pour grimper au sommet et titiller mes mamelons qui très vite gonflent et s’érigent sous le contact humide et délicieux de la bouche de Warren. Ne pouvant guère faire plus, je plonge mes doigts dans ses boucles emmêlées, puis sur ses larges épaules que je masse comme il masse mes seins. Mais, alors que j’allais tirer dessus pour le ramener devant mon visage, il se dégage de mon emprise pour descendre encore plus bas… je me sentais déjà brûler ...
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