Le divorce, une épreuve
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
extracon,
vengeance,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
yeuxbandés,
confession,
... Lorsqu’elle s’est arrangée pour que je les surprenne dans le salon, elle appuyée contre un fauteuil pendant que lui la bourrait avec vigueur, encouragé par des paroles les plus crues, j’ai décidé de réagir. Heureusement, Paul – qui ne faisait pas que baiser mon ex – nous a trouvé un acheteur. J’ai même accepté son prix, nettement en dessous de ce que j’espérais. Susie ne voulait pas, mais elle a tout de même accepté. En deux mois tout a été réglé. Le même jour, nous avons vendu, j’ai payé mon nouvel appart et on a finalisé le divorce. Roger, qui nous a accompagnés au tribunal, est resté un moment après et puis nous a laissés en tête-à-tête à la terrasse du café. On se sentait bizarre. Toutes ces signatures étaient censées nous séparer et nous rendre libres de vivre l’un sans l’autre. Mais en parler et se retrouver ainsi, n’est pas la même chose. C’est Susie qui parle la première : — J’ai pensé que nous pourrions dîner ensemble. Qu’en penses-tu ? Une dernière fois. Juste pour nous quitter tranquillement. Parler des enfants…— Il faut que je prévienne. Tu comprends. Elle est jalouse.— Jalouse de moi ! C’est drôle ! Le monde à l’envers. Dis-lui que c’est juste un repas de famille.— D’accord, mais…— Non, il n’y a pas de mais. Déjà elle te commande… Viens vers 20 heures. Je commanderai des bricoles. Pour la rassurer, dis-lui que tu ne coucheras pas à la maison. Aurait-elle peur de moi ? Comment ne pas obéir ? Elle a raison. Tant d’années ne peuvent s’effacer par quelques ...
... signatures. En arrivant dans ce qui n’est déjà plus notre maison, je retrouve Susie transformée. Moi qui pensais à quelque chose de simple, elle a commandé un festin. Mais en la voyant, je ne peux m’empêcher d’être admiratif. — Tu t’es faite bien belle ce soir ! dis-je en constatant qu’elle s’est changée, maquillée, coiffée, et porte une petite robe simple, mais qui la moule délicieusement.— Mais je suis toujours belle ; en tout cas belle pour qui veut bien me regarder. Bien fait pour moi. Cela m’apprendra à ne pas savoir tenir ma langue. Pendant qu’elle évolue devant moi, allant de la cuisine au salon, je ne peux m’empêcher de la regarder. Pas simplement la voir, comme on ne voit plus quelqu’un qui vit à vos côtés pendant tant d’années ; non, la regarder d’un œil neuf. Elle n’est plus la jeune femme que j’ai épousée, mais malgré trois maternités sa silhouette est encore bien proportionnée. Mieux, elle respire la sensualité. Serais-je devenu aveugle ou bien serait-ce l’influence de Paul, son amant, qui l’embellit ainsi ? Un peu des deux sûrement. Je vais lui proposer d’ouvrir la bouteille de champagne qu’elle sort de son seau de glace : — Merci, mais il faut que je me débrouille seule. Et vlan ! Nouvelle couche ! Heureusement, la suite du repas est plus sereine. Nous buvons, enfin surtout Susie, qui manifestement cherche à s’étourdir. Je l’accompagne. Nous mangeons les mets délicats du traiteur. La conversation est nostalgique mais sans excès. Nous sommes intarissables sur nos enfants, ...