Le divorce, une épreuve
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
extracon,
vengeance,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
yeuxbandés,
confession,
... enveloppé, et en passant le rouleau sous le lit, le relie à l’autre. Me voici bras tendus et immobilisés. Elle veut faire de même avec mes chevilles, mais la peur idiote de me retrouver douloureusement épilé me fait refuser. Elle n’insiste pas. Son sourire fait plaisir à voir. Elle vient s’asseoir sur ma poitrine, me dominant dans tous les sens du mot. Vraiment, il en faut peu pour la satisfaire. Moi je sais déjà ce que je vais lui faire subir lorsqu’elle sera à ma merci ; et moi, ce n’est pas ainsi que je vais l’attacher. Sur la table de la cuisine… Mais ma cavalière rampe lentement vers mon visage. J’ai maintenant sa chatte juste sous les yeux, mélange de parties sombres et roses, de plis et de bosses, toute la complexité du sexe féminin. Maintenant je ne vois plus rien ; mais à quoi pourraient bien me servir mes yeux pour faire ce qu’elle me demande ? Comme je le pensais, elle est déjà bien humide. Ma langue et mes lèvres retrouvent cette odeur que j’avais oubliée depuis le temps. Il est vrai que depuis ma demande de divorce, sa chambre et le reste me sont devenus étrangers. C’est à mon tour de sucer et de lécher ce que ma cavalière veut bien m’offrir. Elle insiste sur son petit trou, merveille qu’elle m’a refusée pendant longtemps et que je n’ai jamais pu honorer avec plus qu’un doigt. Encore une façon de me procurer des regrets. Pour cela, elle se trompe : ma maîtresse m’a tout de suite accordé bien plus de faveurs que je n’en ai obtenues en 30 ans de mariage. Mais ce ...
... n’est pas seulement la faute de Suzie ; nous avions d’autres occupations. Quoi qu’on dise, les enfants bloquent la libido des parents. Elle se frotte sans retenue, et par moments j’arrive à voir que, là-haut, tout là-haut, les seins sont caressés et maltraités par leur propriétaire. Moi, je voudrais bien y participer, mais le Scotch m’en empêche. Son plaisir est évident. Ses mouvements deviennent plus brusques. Elle m’écrase, et j’ai bien du mal à reprendre ma respiration. Mourir étouffé par son ex-femme, voilà qui va défrayer la chronique… Pas étouffé, mais noyé. Du vagin coule un flot de jouissance qui m’inonde. Ouf ! Elle me libère. L’air retrouve le chemin de mes poumons. Mais je n’ai pas encore repris mon souffle que Suzie vient s’emmancher sur ma queue. Inutile de dire que je suis d’une dureté minérale et que son conduit est si lubrifié que je sens à peine le cheminement. Elle se penche et me regarde dans les yeux pendant que son bassin s’active sur moi. Oh, j’ai honte de ne pas pouvoir tenir plus longtemps, mais ma jouissance arrive. J’ai juste la pensée qu’après, que lorsque c’est elle qui sera à ma merci, moi je pourrai tenir si longtemps qu’elle en gardera le souvenir pour toujours. Elle a la délicatesse d’attendre que mes couilles se vident et que mon bâton ramollisse un peu avant de m’abandonner et venir s’allonger à mes côtés. Chacun reprend ses esprits tranquillement. Je me dois de la féliciter et la remercier. Pour ne pas gâcher l’instant par une parole mal ...