La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°886)
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°882) – Je rampais alors vers Ses nobles pieds, me prosternais, et baisais du bout des lèvres, respectueusement le bout de chacune des chaussures de Monsieur le Marquis. Je ressentais toujours cet extrême privilège qu’il m’était autorisé à pouvoir faire cela. Il s’éloigna alors sans plus faire attention à moi, caressa avec tendresse la tête de la soumise que je devais suivre et s’assit derrière son bureau. Nous partîmes donc en quadrupédie toutes les deux jusqu’à la salle de soin, où on m’appliqua une crème apaisante sur les traces, qui n’étaient, contrairement à ce que je pensais, pas des plaies ouvertes et profondes. Puis j’eus droit à un massage pendant lequel je m’endormis, jusqu’à ce que je fus réveillée en douceur par la soumise pour reprendre une tenue vanille et partir à l’aéroport… Walter m’attendait à côté de la voiture devant le perron. Je descendis les marches et lorsque j’arrivai près de lui, il ouvrit la porte côté passager, me dévoilant un plug long et épais sur le siège. - Soulève ta jupe, la chienne ! Voici un petit cadeau du Maître, tu le porteras à tout moment, tant que tu es hors du Château, pour que tu te rappelles quelle est ta vraie place, malgré la façade de liberté de femme vanille que tu vas arborer pendant une semaine. Maintenant penche toi sur le capot de la voiture ! Je m’exécutais alors. Après avoir pris le temps de me malaxer les deux globes fessiers, y avoir donné quelques claques, les ...
... faisant rougir et chauffer, il fit glisser deux doigts sur ma rondelle pendant quelques secondes, les enfonça ensuite dans ma chatte qui était devenue humide face au cadeau du Châtelain et aux attouchements pervers du Majordome, pour les lubrifier, et les planta sans ménagement dans mon fondement, les faisant aller et venir, accélérant ma respiration. Il les enleva cependant rapidement pour y mettre à la place le plug. Je me sentais bien pleine, bien remplie, jusqu’au fond de mes entrailles. - Maintenant, assis toi directement sur le cuir du siège en relevant ta jupe ! Après que je me fus exécutée, il prit place derrière le volant et nous partîmes à l’aéroport pour aller chercher et retrouver avec bonheur mes filles. Elles étaient les trésors de ma vie en dehors de la satisfaction du Maître, ma raison d’être. Finalement, la majorité des week-ends, elles les passaient avec leur père car bientôt il allait devoir partir plusieurs mois. Cela faisait donc un moment que je ne les avais pas vues. Nous quittâmes l’aéroport et Walter nous déposa devant le magnifique pavillon que le Maître me laissait occuper lorsqu’elles étaient là. Après avoir passé la journée à visiter le village et ses alentours (où les ¾ des terres, prairies, bois et surtout vignobles appartiennent au Domaine de Monsieur le Marquis d’Evans) et après que mes filles furent couchées, je prenais le temps d’écrire mon journal de soumise, véritable carnet de bord de mon ressenti au quotidien, comme avant que je n’habite ...