La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°886)
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... rentrons ! Et il me précéda dans le pavillon. Tu dois savoir que Je sais toujours ce que Je fais ! Je pense à tout ! Si J’exige que tu sois nue, sans te préciser que tu as le droit de te couvrir dans certaines situations, c’est qu’il y en a aucune qui l’exige. Il y a intérêt à ce que tu ne me déçoives plus au long de cette semaine ! Bien, j’étais venu pour te montrer que, où que tu sois tu m’appartiens, c’est fait ! Je vais donc repartir, mais pour finir ta punition, tu vas aller te placer à genoux, mains sur la tête dans l’angle de la pièce face à ton ordinateur pour que lorsque je serais au Château, je puisse t’y voir ! Ah tant que j’y pense, il y a effectivement une exception à la règle de ta nudité. Si tes filles se lèvent, tu as l’obligation, pour les protéger de notre monde, de te couvrir afin qu’aucun de tes accessoires ne soient visibles. Vingt minutes après son départ, j’entendis la conversation Skype démarrer, mais aucun son ne se fit entendre. Je ne pus m’empêcher de compter dans ma tête. Le Maître attendit une demi-heure avant de parler. - Bien Ma chienne ! Tu peux sortir du coin. Maintenant, va te coucher, mais pas dans ton lit. Je rajoute une nouvelle règle. À partir de maintenant et jusqu’à ce que tu rentres au Château, à défaut d’aller dormir dans ta niche, tu vas aller dormir dans la ...
... panière qui a été déposée dans ta chambre lorsque nous étions dehors tout à l’heure. Tu dormiras la porte fermée à clé, pour être sûr que tes filles ne rentrent pas dans ta chambre à l’improviste. Et tu devras attacher ta laisse à la poignée de la commode devant laquelle se trouve la panière. Bonne nuit Ma chienne ! Et la conversation s’interrompit. Je fus heureuse de quitter cette position, d’une part humiliante, bien qu’excitante, mais aussi douloureuse dans la durée. Je passais ensuite deux jours complets sans nouvelles du Maître, mais j’étais certaine que tous les jours Il m’observait dès que je me retrouvais seule. Le vendredi matin, je reçus un message du Châtelain : « Ma chienne, préviens tes filles qu’une fois qu’elles seront couchées, elles auront une baby-sitter, que tu sortiras. Quoiqu’il en soit, tu devras rester dans la tenue imposée lorsque tes enfants ne sont pas avec toi, peu importe ce qui arrivera. » J’obéis immédiatement au Maître mais j’étais tout de même un peu inquiète. Il avait laissé entendre que j’allais devoir sortir du pavillon nue et « harnachée », et cela ne me rassurait pas le moins du monde !... Le soir arriva, j’exécutais mes tâches comme à l’accoutumée, puis j’attendis, assise sur mon canapé qu’il se passe quelque chose. À minuit tapante, on frappa à la porte… (A suivre …)