Apprentissage
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
fff,
inconnu,
magasin,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
noculotte,
nopéné,
sm,
journal,
... gluance, et je désespérais de pouvoir le dissimuler très longtemps. J’ouvris ma robe, la mort dans l’âme. Je me considérai dans le miroir : mes seins tombants, leurs aréoles avivées par la tension intérieure, leurs tétons épaissis qui trahissaient eux aussi mon trouble sexuel, ma taille alourdie par les kilos superflus, mon ventre arrondi par le relâchement des muscles, mes hanches trop rondes et mes fesses trop grasses dont la peau frémissante révélait la cellulite, mon pubis broussailleux sur lequel mes cuisses fermées faisaient rebiquer des mèches de poils indiscrets. Je n’osais poser les yeux au-delà de mon image, souhaitant ardemment que Madame Ève se contenterait de mon reflet, mais sachant bien, au fond de moi qu’elle ne me permettrait même pas ce simulacre de pudeur. — Ta robe, quitte-la, vite ! aboya-t-elle en effet. Jette-la dans un coin, elle gêne mon examen. Je la laissai glisser de mes épaules, aussi lentement qu’une veule obéissance l’autorisait, ressentant physiquement les regards impatients de découvrir mon cul. Je la jetai, d’un geste que je voulais gracieux, mais qui ne fut sans doute que ridicule, le plus loin possible de moi pour m’interdire toute tentation de m’en recouvrir. Exposant mon côté pile comme mon côté face, je me mis à trembler irrépressiblement, ajoutant à mon humiliation le grotesque du tressautement de mes seins trop pesants et de mes fesses trop molles. Quelques ricanements ironiques fusèrent dans mon dos. Je me voûtai sous ce constat ...
... méprisant. — Redresse-toi, au moins, reprit Madame Ève, essaie d’avoir une attitude digne si tu n’as pas une ligne de sylphide, et tourne-toi vers moi. Insidieusement, mon esprit trouvait une satisfaction perverse dans cette situation imposée. Mes pointes se raffermissaient, mes lèvres se gonflaient malgré la pression de mes adducteurs, le flux de cyprine se renouvelait dans mon vagin, même mon petit trou secret en frémissait, à ma profonde confusion. Sans plus résister, je rectifiai ma position, me cambrai, et me tournai enfin, face à mon public. À nouveau, les mots me cinglèrent comme une douche froide : — Tu te crois belle ? Tu es risible avec tes mamelles ballotantes et tes cuisses serrées. Qu’espères-tu cacher ainsi ? Mets tes mains sur la nuque, ça redressera tes seins, et écarte tes chevilles d’un mètre, que je puisse voir comment tu es faite. Dans cette attitude, j’eus l’impression d’être encore plus exposée. Des fourmillements parcouraient ma poitrine, mon ventre, mon pubis, mes cuisses, comme des décharges électriques. Mes bouts de seins dardaient, ma vulve s’entrouvrait, mes lèvres palpitaient, mon clitoris pointait, je me sentais proche de l’orgasme, j’imaginais des gouttes sourdre de mon vagin… Mes doigts se serraient convulsivement derrière ma tête, je résistais de toutes mes forces à l’envie de plus en plus forte de soulager ma tension par une masturbation éhontée. Un infime reste de pudeur m’en empêcha de justesse. J’aurais désiré qu’Ève me branle elle-même, me ...