Épisode V : L'Américaine
Datte: 22/04/2021,
Catégories:
ff,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
intermast,
Oral
69,
fdanus,
init,
... fesses, le dos où cascadaient les cheveux roux de la danseuse. Ses cuisses bougeaient divinement bien, jouaient des muscles et appelaient une caresse langoureuse. La jolie blonde commençait à sentir une certaine excitation, qui se fit plus importante quand Andrea se retourna, sans paraître surprise ou effarouchée d’offrir son corps. La rousse lança un regard ardent à Marianne, continuant de danser, plus lentement, et avec des caresses plus appuyées. Se dérobant à cette vue, la blonde se réfugia dans sa chambre, lançant un « bonjour » tremblotant. Marianne, loin de la porte, prit alors appui au mur et expira lentement et le plus silencieusement possible. Tenter de se calmer ne fit en aucun cas baisser la tension de son sexe qui commençait à suinter doucement. Elle réfléchit un instant. Andrea aimait les femmes sûres d’elle, sans culotte. Soit. Marianne, qui pour son travail de vendeuse dans un magasin chic, portait encore une jupe courte grise moulant son cul, des bas autofixants noirs enlaçant ses cuisses, un chemisier gris à boutonnière, serrant sa poitrine. Elle passa les mains sous sa jupe, prit le string entre ses doigts et, pour se mettre dans l’ambiance, le descendit langoureusement, ondulant du bassin. Puis, elle le lança dans un coin et se délia les jambes. Elle ne se promenait jamais le sexe libre et fut d’autant plus excitée de le faire pour attiser Marianne. Irrésistiblement, la pensée de la rousse, de son bikini qui ne cachait presque rien, de son regard de ...
... braise, fit ouvrir les jambes de Marianne pour qu’elle passe un doigt sur son sexe humide. Elle frissonna de partout en tendant le cou vers l’avant. Fébrile, elle décida d’en rester là. Elle approcha de son lit, s’y étendit lentement, tremblante d’envie, et prit son livre, sur sa table de nuit. Le lit de Marianne était en plein milieu de la pièce, mais un peu en retrait de la porte. D’un certain angle, il était parfaitement visible de la chambre d’Andrea. La blonde se plaça alors les fesses face à la porte, sur le côté, sa tête relevée guettant l’apparition de Andrea. La belle rousse, toute à sa concentration, passait souvent sous le regard de Marianne, mais en dansant, elle gardait les yeux fermés, et elle ne la voyait. Frustrée, mais excitée par la vue, la blonde plantureuse se caressait doucement. Les pointes de ses seins en étaient d’ailleurs déjà dressées, elle les sentait frotter contre son soutien-gorge. Puis, la musique qui rythmait la danse s’arrêta. Les yeux de Marianne étaient impatients. Enfin, les formes voluptueuses de la rousse passèrent par le seuil. Elle venait dans sa direction. Andrea entra dans la chambre. Marianne leva les yeux vers elle et remarqua que la rousse la détaillait, la désirait. Excitée, la blonde voulut se frotter les jambes pour accentuer le plaisir d’être ainsi mise à nu, mais elle était toute frissonnante et pétrifiée. Andrea entra et s’approcha d’elle en souriant. Elle passa à la hauteur du visage de Marianne, qui voyait clairement son bikini, ...