1. Épisode V : L'Américaine


    Datte: 22/04/2021, Catégories: ff, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, intermast, Oral 69, fdanus, init,

    ... ses expériences sexuelles. Hommes et femmes. Pour une Américaine, elle était décoincée. Moi qui les croyais tous obèses, chastes et religieux… À 24 ans, elle était seule depuis six mois, sortant d’une relation difficile d’un an avec une française, puis auparavant trois ans avec un homme. Elle n’avait eu que ces deux partenaires, qui la satisfaisaient très bien et qui lui avaient fait découvrir le sexe sous bien des angles, bien qu’elle en fût déjà curieuse. Sandra parlait peu, apparemment gênée quand le regard brillant d’Andrea se posait sur elle. Tout le contraire de Marianne, qui lui rendait un regard attentif et curieux, peut-être un peu de désir caché. Marianne et Andrea se fixaient souvent, l’une d’un regard plein de désir devant de magnifiques courbes féminines, l’autre devenant de plus en plus chaude et allumée. Je sentais que le courant passait bien et avec ce qui se passait dans cet appart, je me disais bien que quelque chose arriverait sous peu. Surtout quand, avec une voix pleine d’intérêt, Marianne demanda à Andrea : — Qu’est-ce qui t’excite chez une femme ? Andrea ne parut ni surprise de la question, ni gênée. Elle prit quelques secondes de réflexion et dit, d’un français parfait mais au fort accent : — Tout. J’aime la femme sans pudeur… confiante. Une femme sans culotte est une femme chaleureuse et sensuelle, aussi vorace et pleine d’appétit. Marianne hocha la tête. Andrea, je le vis bien, la regardait avec un air glouton, prête à lui sauter dessus. Marianne ...
    ... en resta là et le sujet fut mis de côté par Sandra qui ne savait plus ou se mettre, mal à l’aise, bien qu’excitée elle aussi par cette conversation. Le reste du souper se passa tranquillement, malgré les regards torrides que se lançaient Andrea et Marianne. Cette partie-ci du récit me fut racontée par Andrea quelques jours plus tard. Je vous en fais part, parce qu’il fait partie de ma vie de colocataire. Je relaterai alors l’histoire à la troisième personne pour éviter de compliquer les choses. C’était le surlendemain de notre souper d’accueil et Marianne arrivait alors de son boulot, vers midi. Elle se croyait seule, et se servit à dîner tranquillement. Une fois son dîner (déjeuner chez vous) terminé, elle descendit à sa chambre, avec l’intention de poursuivre la lecture de « L’insoutenable légèreté de l’être ». Les deux portes des chambres de Marianne et Andrea étaient face à face. Quand Marianne arriva, elle ne put manquer de voir l’impudique Andrea. En effet, probablement le fait qu’elle se change et se mette à nu constamment avait quelque habitué Andrea à être à son aise bien peu vêtue. Son sexe était à peine couvert d’un bikini noir, son torse vêtu d’un t-shirt orangé très court, dévoilant largement le nombril. À ses pieds, de petits mocassins de danse. L’esprit de Marianne se brouilla alors à la vue de ce corps offert et presque nu, ce corps qui, déjà habillé, l’attire. Andrea exerçait ses pas de danses, tournant le dos à Marianne, qui admira la cambrure délicieuse des ...
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