1. Journal de bord personnel du capitaine du Phoebus


    Datte: 03/11/2017, Catégories: Anal Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... littéralement baisé la bouche. Il a refusé de me pénétrer. Je suffoquais à moitié, sa bite venait taper le fond de ma gorge. Il a joui, et s’est retiré pour m’envoyer son sperme au visage. Ensuite, il s’est assis dans mon fauteuil, et m’a ordonné de me finir devant lui. Placée entre la honte et la frustration, j’ai pris la bougie, et m’en suis servie comme d’un sexe, en détournant la tête. Je sentais ses yeux posés sur moi, enregistrant chaque détail. J’ai fait aller et venir la bougie de plus en plus vitre, jusqu’à l’orgasme. Edward est parti sans dire un mot, me laissant pantelante, et le visage souillé.23 avril 1781La tempête d’hier a fait quelques dégâts ; l’équipage a été fort occupé aujourd’hui. Tout est réparé heureusement, et la mer est d’huile. Nous repartons de plus belle.J’ai fermé ma cabine à clé ce soir. Edward est venu frapper ; je n’ai pas répondu.24 avril 1781Nous sommes à l’arrêt : un cordage a lâché, peut-être usé pendant la tempête. Le maître-voilier m’a assuré que la réparation ne prendrait pas plus d’une demi-journée.John est revenu me voir, pour me demander l’autorisation de doubler la ration d’agrumes du quartier-maître, qui se sent affaibli. En partant, il m’a fait remarquer qu’une des bougies de mon chandelier manquait, et m’a proposé de la faire remplacer. Je rougis en repensant que je l’avais jetée par-dessus bord après mon humiliation avec Edward. Mais je n’eût pas le temps de répondre, John s’était déjà retiré.25 avril 1781Le beau temps a ...
    ... l’air d’exciter la libido des marins : depuis ce matin, ils enchaînent les chants grivois. Nous sommes partis depuis moins de dix jours pourtant, le manque ne peut pas déjà se faire sentir ! Je crois qu’Edward les entraîne : il chantait plus fort que les autres, et le gabier m’a raconté une histoire particulièrement salée qu’il prétend tenir de lui. Je dois le convoquer et voir ce qu’il mijote.Plus tard : Plus d’inquiétude à avoir. J’ai rejoint tout à l’heure Edward dans ses quartiers, et me suis assurée de sa bonne coopération. Je crois qu’il a apprécié le changement de rôle… Je l’ai repoussé sur le lit dès que je suis entrée, et me suis assise à califourchon sur sa figure. C’était à son tour d’être humilié, et autant dire qu’il a assumé sa part de travail. Il m’a dévorée comme s’il était mort de faim, tout en me titillant le petit trou. Je lui caressais le sexe de temps en temps, juste assez pour maintenir son érection, tout en lui interdisant de jouir. Quand je suis moi-même arrivée à l’orgasme (et je l’ai bien arrosé au passage), je lui ai dit de se finir lui-même. J’avais envie de ma petite vengeance… Il n’en a éprouvé aucune honte pourtant, et s’est calmement astiqué devant moi en gardant ses yeux rivés dans les miens. Je luttai pour ne pas baisser le regard. Il a joui, je suis partie.26 avril 1781Cela fait dix jours aujourd’hui que nous avons levé l’ancre. Il n’y a pas eu d’autre avarie à signaler depuis le cordage. Les hommes semblent nerveux aujourd’hui, je me demande ...