Petite histoire de ma vie, des mes amants, de ma bite et de mon cul. (1)
Datte: 23/04/2021,
Catégories:
Gay
... retrouvé nu, avec un garçon de ma rue, Grégory, dans le grenier, à comparer nos sexes ? C’était avant le collège. Et à jouer au docteur avec Jean et nos premières caresses et mes premiers baisers sur la bouche d’un garçon, sur ses fesses, sur son sexe ? Hasard ou pas, et plutôt pas, ma première véritable expérience fut avec mon cousin chéri avec lequel j’eus ma première éjaculation en Allemagne. Là, je m’en rappelle comme si c’était hier. Le bel été de mes quinze ans. J’adorais sa façon de s’allonger sur moi. C’est mon kif absolu. Il y a peu de choses que j’aime autant que de m’étendre sur le dos, écarter mes jambes et y faire s’épanouir ce que je sens être moi en plénitude. Curieusement, encore aujourd’hui, je ne me sens jamais autant homme, jamais autant mâle que lorsque qu’un autre homme est étendu sur moi, son sexe contre le mien, mes jambes et mes bras repliés sur lui pour ne pas le laisser repartir. Et Walter, mon cousin savait s’étendre sur moi comme pas un. J’aimais son odeur, ses poils très noirs, et ses pelles mémorables, et ses fellations ! J’aimais bouffer son trou du cul et j’aimais l’entendre me dire qu’il trouvait cela "super bon". Et même, j’aimais sa petite bite qui décalottait si mal, à tel point que je lui ai recommandé de se faire circoncire. Et je l’aimais lui, tout simplement. Nous sommes restés amants jusqu’à mon mariage. Après, il n’a plus voulu, par respect pour mon couple sans doute. Puis il est parti... loin, si loin... et s’est marié, une fois, ...
... deux fois. En un quart de siècles nous ne nous sommes rencontré qu’à une seule reprise. C’était il y a déjà dix ans. xebxiq Je l’aime toujours à ma façon et nous sommes restés très complices. Il y a cela qui nous unit et qui est notre secret, encore que je me demande si tes parents ne l’ont pas éventé un jour. Tu me manques mon cousin. J’aimerais encore une fois écarter mes jambes pour toi. Saurions-nous reconnaître, sexuellement je veux dire; saurions-nous refaire si bien l’amour ? As-tu beaucoup changé ? Ton corps m’inspirerait-il encore autant de désirs, et le mien, le voudrais-tu ? T’exciterait-il encore ? As-tu encore ce cul bombé et poilu où ma langue a frémi de délices. Tes épaules sont-elles toujours aussi musclées ? Les poils de ton menton, même rasé, aussi durs ? Puis il y eut un copain de collège que j’ai séduit immédiatement après mon retour de vacances avec Walter. J’avais tellement aimé mes longues nuits d’amour avec lui que je désirais immédiatement expérimenter mes nouvelles sensations avec des virilités de mon âge. J’avais goûté au plaisirs des sens, à ce fruit défendu de l’amour entre hommes et je ne pouvais plus y renoncer, même si je ne compris tout ce que cela impliquait que bien plus tard. Mon nouvel amant, pour qui je ne renonçais d’ailleurs pas aux charmes de mon cousin, ce fut Emmanuel. A la fin d’août, alors que nous nous baladions en forêt, j’inventai je ne sais plus qu’elle histoire de cul pour le chauffer et, très vite je l’amenai à défaire son ...