1. Petite histoire de ma vie, des mes amants, de ma bite et de mon cul. (1)


    Datte: 23/04/2021, Catégories: Gay

    ... pantalon tandis qu’il glissait sa main entre mes jambes. Son sexe était un peu plus gros que celui de Walter. Non disposâmes nos vestes sur le sol, sur le petit bois mort et les feuilles sèches de la fin de l’été. Je pris l’initiative. Je léchai son sexe. Il me masturba. J’en fis autant. Révélation. Je t’ai passionnément aimé aussi Emmanuel et je n’ai jamais osé te le dire.Pourquoi avons-nous si souvent fait l’amour sans que je puisse trouver la force de te dire je t’aime? C’est vrai je ne suis pas tombé amoureux de toi dès le début. Au départ, tu étais un de mes meilleurs amis et puis, au fur et à mesure des heures que tu as passées dans mon lit, je suis tombé amoureux de toi. Sait-on pourquoi on aime ? Pourquoi t’ai je aimé ? Je crois que je t’ai aimé parce que tu étais tout l’opposé de moi. Aussi blond que je suis brun, les cheveux aussi raides que les miens sont frisés, musclé alors que je ne l’étais pas, plus scientifique que moi, plus sportif, plus adroit de tes mains... J’adorais tes caresses, si tu savais! J’aimais prendre ton sexe dans ma bouche, passer mes doigts sur les poils fins et abondants de tes cuisses, te serrer dans mes bras quand nos sexes se touchaient et que ton corps roulait sur le mien, et glisser mes mains sur tes fesses rondes et fermes, sentir l’odeur de ton sperme sur mon corps une fois que tu t’étais rhabillé et que tu étais reparti, passer les doigts sur mes poils pubiens encore humide pour en recueillir un peu, mélangé au mien et m’en ...
    ... humecter les lèvres Comment n’as tu pas perçu cet abandon total dans tes bras quand tu étais souverain dominateur sur moi ? Et puis tu as cessé quand nous avons eu 18 ans. Tu as eu l’impression que je ne te faisais venir que "pour ça", que tu étais un jouet sexuel, un vide-couilles. Comment n’ai-je pas vu quand ne t’avouant pas mon amour je te conduisais fatalement à le penser. Je trouvais si peu viril de te dire que je t’aimais, si peu viril pour toi qui l’étais de plus en plus. Ton corps se transformait, tes biceps poussaient, tu devenais un athlète. La beauté de ton corps subjuguait la mienne, tu t’éloignais de l’adolescence et tu t’éloignais de moi. Alors je t’ai demandé si tu étais amoureux de moi. Je savais bien que non mais j’espérais qu’ainsi tu me poses la question en retour et que tu me libérerais de la crainte que j’avais à admettre ce que je n’avais jamais voulu proclamer. Faire l’amour entre garçon, pour s’amuser, pourquoi pas, mais être amoureux d’un garçon, est-ce que cela ne faisait pas un peu tapette. Lâcheté. Je n’ai rien dit. As-tu senti le piège ? As-tu senti que j’attendais que tu me le demandes pour tout te confesser et alors rendre ta décision différente ? Mais tu m’as juste dit : "non". Un non sec et définitif. J’ai ravalé ma honte. Je me suis dit que tu ne me posais pas la question par ce que la réponse ne t’intéressais pas. Que peut-être tu commençais à être dégoûté de toucher un homme et que dans ton lycée ou, plus tard, dans ton régiment, l’homophobie ...