Donjons et Dragons - 6
Datte: 03/11/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... plusieurs semaines, je me suis mise à quatre pattes, avançant en direction de ma Maitresse comme la petite chienne que j’étais. J’entendis un « elle est trop mignonne » derrière moi. C’est presque si je rougissais. A la hauteur de ses cuisses, je m’avançais doucement, les fesses bien levées, pour poser ma bouche sur son mont de Vénus. Comme par magie, je me retrouvais de nouveau à ne penser plus qu’à elle, et son désir. Je commençais à lécher son bourgeon. Elle me congratula en me caressant légèrement les cheveux. Je me rendis compte alors que sa cyprine avait un gout particulier, encore plus fort que d’habitude ; plus magique, en fait. Je léchais, triturant son clitoris avec le bout de ma langue, tout en comprenant que j’allais subir de nouveau des transformations irréversibles. Et pourtant, je ne pouvais pas m’arrêter, c’était ma destinée de continuer ! Plus rien ne pourrait me stopper, j’allais la faire jouir, comme tous les jours, c’était mon rôle dans l’univers ! Je suis une soumise, je ne suis bonne qu’à obéir et servir de sextoy. Alors voilà, je léchais, sans me fatiguer, en avançant vers mon triste sort. Je sentis une paire de main caresser sans grande délicatesse ma paire de fesses. Je sentais ces mains parcourir le bas de mon dos, descendre entre mes fesses, caresser mes lèvres vaginales, passer un doigt à l’intérieur de ma cavité. Je remontais encore plus mon bassin : ces caresses imprévues, si elles n’étaient pas des plus douces, entraient parfaitement dans ma ...
... folie sexuelle de soumission. Je gémis. Je ne savais plus faire que ça après tout, autant en faire profiter les autres. Je gémis encore, plus fort, quand je sentis qu’une bite s’approchait de mon cul. J’allais être mangée en sandwich. Le pénis brûlant, d’un homme de l’assistance probablement, vint écarter mes deux rondelles. Je gémis encore plus bruyamment, malgré que je n’en ressentais aucun plaisir : j’étais née pour exciter mes propriétaires, les dominants. Les salopes dans mon genre n’ont qu’à simuler, finalement leur propre plaisir ne compte pas vraiment. Il rentra progressivement, et c’est là que je commençais à ressentir du plaisir. Je ne le cachais pas, remuant du cul, gémissant de plus belle. J’imaginais que la moitié de la salle devait me regarder sucer ma maitresse et être sodomisée par un inconnu en mouillant énormément. Peut-être que certaines femmes avaient passé leur main dans leur robe. Peut-être que certains hommes avaient sorti leur bite pour se branler en public, profitant du chantier que nous faisons, ma Maitresse et moi, pour assouvir un fantasme d’exhibition à leur tour. C’est à ce moment-là que je sentis de nouveau la magie de ma Maitresse entrer en moi à nouveau. Je savais qu’il se passait quelque chose de diabolique dans mon corps, une nouvelle manifestation de son emprise sur moi, et l’obéissance que je lui devrai pour l’éternité et inconditionnellement. Un parfum de désir se répandait dans mes narines, une fragrance très féminine m’obstruait les ...