1. Donjons et Dragons - 6


    Datte: 03/11/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... tous ces gens importants. Son mari, le seigneur Leaves, ne décrochait pas le regard de mon anatomie était sa main continuait inlassablement ses va-et-vient sur sa hampe. Lady Adrianna, à présent totalement dévêtue, tomba au sol à quatre pattes, et se plaça au-dessus de moi, la poitrine dirigée vers elle. Elle me protégait ? Non ! Elle en voulait plus ! Je le compris quand elle passa deux doigts pour me pénétrer. Je cria avec force sous le choc et l’émotion. Nos yeux étaient dirigés l’une vers l’autre. Je percevais un charme magique dans son regard, elle n’était pas en possession d’elle-même. Elle DEVAIT me baiser. Je restais clouée là, tétanisée par la situation, essayant de me soulever tant bien que mal alors que Lady Adrianna était positionnée au-dessus de moi. Les doigts pleins de ma mouille, elle me saisit le visage, relevant mon buste à sa hauteur, en ayant toujours les flots de cyprine de Maitresse sur mon visage et mon cou. Je ne savais plus comment réagir. Cette situation extrême avait réduit considérablement l’emprise qu’avait Maitresse sur moi. Ou peut-être était-ce parce qu’elle était inconsciente. Lady Adrianna m’embrassa alors. ...
    ... Elle passa sa langue entre mes lèvres. Je lui rendis son baiser, ayant perdue totalement la notion de limites. Je lui saisis les hanches, la serrant contre moi, et nous nous embrassâmes. Nos lèvres restèrent collées lorsque plusieurs giclées de foutre atterrirent sur son dos et mes jambes. Sa langue continua de rencontrer la mienne alors que du sperme venait souiller mes cheveux. Nous étions toutes les deux hypnotisées par cette bulle de réconfort et de chaleur, dans cette scène apocalyptique où tous les autres individus semblaient zombifiés. - NON !!!! Hurla maitresse en se redressant. Soudain le charme prit fin. Les hommes se regardèrent, leur bite à l’air, avec un sentiment de honte et de gêne. Les femmes remirent prestement leur robe d’aplomb. Maitresse nous fixait toutes les deux, Lady Adrianna et moi. Nous nous lâchèrent. Rien ni personne ne pouvait prétendre ne pas avoir vécu ce qu’il s’était passé. Maitresse était tétanisée. Puis soudain, Adrianna, reprenant ses esprits, écarquilla les yeux elle aussi : elle venait, par l’intermédiaire de notre baiser, de goûter à la cyprine envoutée de ma Maitresse. Qui sait ce qui allait se produire ? 
«12345»