1. Le bouchon trop loin 5


    Datte: 23/04/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... maison ? Non mais tu rêves ! Le sujet est clos. Dis-je en mon for extérieur. - Finalement tu ne m'aimes pas tant que ça, boude-t-elle en se rasseyant. Mais qu'est-ce qu'il ne faut pas entendre ! - Faut demander des choses plus réalistes. Atterris un peu ! Comme dit le proverbe : on n'attrape pas les mouches sans casser des œufs. Ayant attendu que les nuages se dissipent, elle repart : - Dis, tu veux bien me raser la chatte ce soir ? - Enfin une bonne nouvelle, c'est pas trop tôt, et en plus je vais en profiter sans attendre. - C'est que… je voudrais que tu me rases mais après. - Ah d'accord ! Tu veux en faire profiter Jean d'abord. Il n'en est pas question. Tu n'as qu'à le faire toi-même. En plus je verrai ta chatte rasée avant lui, ça ne te gêne pas, hein, tant tu y es ? - Oui, tu as raison. Demain j'irai chez l'esthéticienne, elle, ça compte pas. Les nuages repassent mais en plus lourd. Elle passe une jambe par dessus un accoudoir de son fauteuil et la fait osciller de haut en bas tout en chantonnant, et que voilà un slip bien mis en évidence. D'un ongle titilleur, son doigt batifole à la limite de sa cuisse et de la culotte. Inutile de dire que cette manœuvre n'est pas dans ses habitudes, la garce cherche à m'aguicher, je reste sur mes gardes. - Tu vois, il faudrait remettre bien le lit du bureau. - Et pourquoi donc ? Tu comptes y dormir ? - Non mais on ne sait jamais, si un jour, pour une raison ou pour une autre, Jean vient ici, tu te planquerais dans le bureau. Vous ne ...
    ... vous verrez pas. - Bon ! Voilà enfin une proposition raisonnable. C'est d'accord. Tu as de huit heures à minuit et tu me préviens avant. - Ça marche ! Tu es un amour, dit-elle contente et mettant carrément la main dans son slip pour se caresser. - Je te signale que ça correspond simplement à ce que j'envisageais au départ. Tout en pensant à la recette du flan pâtissier, je m'aperçois qu'elle a oublié quelque chose. - Dis-moi, je remarque un truc là. Tu n'as pas pensé à me demander de porter une cage. - Si. Mais vu ce que tu as fais d'un cadenas dix fois plus gros, ce n'est pas une merdouille comme ça qui va te poser problème. Avec tout l'outillage que tu as tu peux démolir ce que tu veux. C'est dommage d'ailleurs. Et oui, elle pense à tout, comme d'habitude. - Ah bon ? pourquoi ? - Parce que si tu veux être excité, là je t'aurais fait un cinéma dont tu te serais souvenu longtemps. - Quel cinéma ? M'intéressé-je vivement. - Par exemple je me promènerais à poil dans la maison, en talon haut. Ou alors je m'habillerais en pute. Je me caresserais devant toi jusqu'à l'orgasme. - Oooh ! Mais c'est bien tout ça ! - N'oublie pas que tu aurais la bite en cage et que tu n'aurais pas le droit de me toucher. Sinon… - Sinon quoi ? - Tu prendrais des jours ou des semaines en plus dans ta cage. Et je reviendrais de chez Jean pleine de sperme, je te ferais des câlins, je te raconterais comment il m'a baisée, je te montrerais ma chatte trempée et sentant le foutre. Je t'enlèverais ta cage pour ...
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