Le bouchon trop loin 5
Datte: 23/04/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... te branler et te sucer tout doucement, en faisant bien attention de ne pas te faire jouir. Je verrais tes petites couilles remuer toutes seules, collées contre ta queue à tourner en rond, j'adore voir ça. Et voilà, maintenant j'ai des petites couilles ! - Je m'allongerais sur toi, tu sentirais ma chatte humide frotter contre ta queue, peut-être même que je m'empalerais pour que tu goûtes à mon vagin dilaté et gluant avec ta bite prête à exploser. Ah oui ! Et aussi je t'aurais demandé de me nettoyer la chatte avec la langue, j'ai vu ça, ça doit être génial. - Beurk ! - Ben sinon tu aurais pris un mois de prolongation dans ta cage à chaque fois. - La vache ! Tu rigoles pas ! Mais si tu enlevais la cage, tu ne pourrais pas la remettre. - Mais si, avec une poche à glace, ou quand tu dors ou encore un bon coup de genou dans les couilles. - Houla ! Heureusement que c'est une hypothèse. Mais pendant combien de temps tout ça ? - Ça dépendrait de toi. - Explique. - Jusqu'à ce que je sois enceinte. - Rien que ça ! - Mais pour que ça cesse, il t'aurait suffi de me demander, sinon supplier, de me faire engrosser par mon amant. Au bout d'un moment, tu aurais craqué. - Pas sûr. - Je te connais et à mon avis, après un mois sans juter, t'es mûr agonisant. Comme ça, je n'aurais rien eu à me reprocher : tu m'as demandé d'avoir un amant, j'ai fait, tu m'as demandé d'être enceinte de lui, j'ai fait. Tu vois que je suis une épouse obéissante. - Tu ne manques pas d'air, un accord sous la ...
... contrainte… - Tu aurais bandé comme jamais. Surtout le jour où je t'aurais attaché par les couilles au radiateur de la cuisine, mains liées dans le dos et cage enlevée que tu puisses bien bander, pour que tu m'entendes me faire engrosser dans notre lit. Et je peux te dire que tu m'aurais entendu crier mon plaisir bien fort. Ensuite je serais venue te voir, pour te montrer ma moule dégoulinante de la semence de Jean, tes couilles se seraient peut-être vidées toutes seules sur le carrelage, sans jouir. Si ça se trouve, tu aurais même éjaculé en même temps que Jean. Amusant non ? - Mais que tu es vicieuse et tordue ! Je n'en reviens pas que tu aies pensé tout ça. Mais qu'es-tu devenue ! - Tu voulais être excité de me savoir baisée par un autre ? Je propose davantage, je n'offre pas seulement ma chatte mais mon ventre, je ne peux pas faire mieux pour t'exciter. Mais bon, comme la cage n'est pas envisageable, tout cela c'est des idées en vrac. Comme dit le proverbe : petit à petit l'oiseau vole un bœuf. Je suis perplexe. Elle me ressort ce qu'elle a vu et lu sur internet. Si elle le pense vraiment, je suis pris à mon propre piège. Dans quoi nous ai-je entraînés ! Mais quel con alors ! Quel con ! Un silence règne après notre dernier échange, puis elle dit : - Tu sais, je me rends bien compte que tu n'es pas satisfait de cette situation. C'est aussi de ma faute, des fois, je n'arrive pas à me contrôler. Je ne sais pas pour quelle raison mais Jean me rend folle. - C'est évident, tu es bonne ...