Bientôt l'année prochaine - Histoires de Sexe

Bientôt l'année prochaine

... Pourquoi pas… Mais en contrepartie, tu dois me dévoiler d’autres éléments de ta liste. OK ? Mon mari se fend d’un large sourire puis il enchaîne : — Ça me semble équitable. Cinq autres, ça te convient ? Cinq ? Seulement cinq ? Dépitée, je m’exclame : — Franchement, t’es rat ! Que cinq ? Tu rigoles ou quoi ?— Cinq dans le bas de la liste, parmi les plus… novateurs et croustillants, comme tu dis.— Ah… proposé comme ça… oui, ça peut se faire…— Alors c’est vendu ! Ah oui, j’ajoute un détail : le lubrifiant sera ta salive, donc applique-toi !— T’es un salaud dans ton genre !— Oui, mais c’est comme ça que tu m’aimes… Franchement, il vaut mieux entendre ça que d’être sourd ! Ça fait partie de nos petits jeux intimes, de notre petit cinéma personnel. Et sans perdre de temps, il déboutonne son pantalon pour exhiber une belle verge bien dure. Le message est clair… Je m’assieds à côté de lui puis je me penche sur la bête qui est en pleine forme. Après quelques bisous en préliminaire, je commence par suçoter ce gland que je connais si bien. Puis ouvrant un peu plus les lèvres, je commence à sucer cette bonne tige bien nervurée. Son propriétaire en soupire d’aise. Alors je continue délicatement ma gâterie durant de longues minutes, n’oubliant pas de saliver abondement, car ce que mon homme promet, il le tient toujours ! — Retourne-toi, maintenant… Docile, je fais comme il me le demande. Aussitôt que je suis bien positionnée comme je sais qu’il le souhaite, il se place derrière moi puis ...

... il se colle à moi. — Très bien, ma chérie ! Passons à la suite… J’adore sentir, une fois de plus, la belle queue chaude de mon homme sur mon popotin frémissant. J’adore aussi quand elle glisse le long de ma raie, entre mes fesses rebondies et accueillantes, quand je sais et quand je sens que c’est ma salive qui est en train de frotter sur mon cul, au bord de mon petit trou frissonnant ! — Hmm que c’est bon, ma petite « Aniqueta » !— T’aime ça, mon gros salaud !— Tu peux pas savoir à quel point ! Ton cul, c’est tout un poème ! Là, je sens qu’il prêt à venir en moi, à plonger dans mes sombres profondeurs. Alors, impérieux, il pousse son gland contre ma petite cuvelle qui s’évase petit à petit. Je sais que dans peu de temps sa bonne grosse bite se fichera dans mon petit trou du cul bien serré ! — Et ça va être encore meilleur ! Surtout quand je t’aurai fourrée de toute la longueur de ma queue jusqu’au fond ! Ma respiration se saccade, mes muscles fourmillent, mon corps se tend ; la chienne qui est en moi refait surface, impudique, affamée ! Oh oui, je veux qu’il me baise ! — Allez, vas-y ! Enfonce-toi en moi ! Baise-moi !— Tu vas être servie, ma grosse cochonne ! Plop ! Comme un bruit de bouchon qui explose ! Mais dans l’autre sens… Sous la forte pression de la bite qui m’entreprend, ma petite rondelle cède ! Je pousse un bref cri étranglé. Hébétée, je sens une énorme queue envahir mes entrailles pour venir s’enfouir bien profondément, très profondément, trop profondément ! C’est ...