Séverine (10)
Datte: 25/04/2021,
Catégories:
Hétéro
... l’entrejambes. J’ai l’impression que mon jean rétrécit. Je déboutonne mon jean. Ma bite est gonflée à son maximum. Je n’en peux plus. Je préviens Isa que je m’absente. Une fois dans les toilettes, je baisse mon pantalon et là, stupeur, j’ai une gaule d’enfer avec un gland d’une couleur que je ne lui connaissais pas. D’un rouge violacé et d’une sensibilité terrible. Je le touche. Il est d’une sensibilité phénoménale. Quand j’entends frapper à la porte, j’ai du mal à remballer le matos. J’ouvre la porte et un type d’une soixantaine d’année me bouscule et rentre dans les WC. J’ai du mal à marcher. Je retourne, tant bien que mal, derrière le bar. — J’en connais deux qui vont avoir mal au cul e soir. Elles t’attendent dans le bureau, allez files ! C’est sans attendre que je repasse devant les trois alcôves, les Glory holes et la chambre des tortures. Je frappe à la porte du bureau. Caro ouvre. — Viens, entre. Alors ça fait effet ? — Putain, je n’ai jamais eu une gaule aussi dure et gonflée… Caro sourit. Séverine arrive et entre également. Elle baisse les yeux et se mord les lèvres d’envie en devinant ce qui se cache dans mon pantalon. Caro commence à me caresser à travers la fine toile de cuir. Je ferme les yeux. Que du bonheur. — Mes chéris, on va sortir prendre ma voiture et aller dans un coin sympa. On pourra rester et gueuler tant que l’on veut. — Tu es folle. Je peux à peine marcher avec ce truc coincé dans mon pantalon… — Attends, je vais t’aider… Elle me dé-zippe et me sort ...
... le sexe. Elle n’en revient pas. Mais pas le temps de tergiverser, Caro nous pousse hors du bureau, vers la sortie des employés. Elle prend le volant, Sév à côté d’elle et moi seul derrière. — Dessape-toi. Tu ne crains rien, les vitres sont teintées. Je m’empresse d’ôter ce carcan de cuir qui m’emprisonne et libère une bite énorme et vaillante. Séverine est impressionnée. La douleur s’estompe du fait qu’elle soit enfin à l’air libre. Sév essaie de tendre une main mais je suis trop loin. Je me positionne donc à genoux entre la banquette arrière et les deux fauteuils avant. Doucement, elle me caresse le gland, joue avec mon frein. Ma bite tressaute. — Sensible on dirait…Hihihi, ricane Sév. Elle continue, frotte son doigt entre mon frein et mon urètre. Du liquide pré-séminal commence à sortir. Elle en récupère grâce à son ongle et le porte à sa bouche. Elle ferme les yeux en le dégustant. Caro roule lentement sur un petit chemin forestier qui débouche bientôt sur une petite clairière. On descend. — Hervé tu te mets à poil et tu vas monter à quatre pattes là-bas, sur la petite table. Effectivement, une petite table en pierre, style table d’orientation, semblait attendre nos ébats amoureux. Je me mets donc nu et en position sur la table. Le vent me caressant les couilles me procure des sensations jusqu’alors inconnus. Les deux filles tournent autour de moi et admirent le tableau. Leur visage transpire. Caro déshabille Sév, qui l’imite. Elles sont nues. Elles me caressent de toutes ...