Séverine (10)
Datte: 25/04/2021,
Catégories:
Hétéro
... fourbue, se rhabille. Elle est trempée de la tête aux cuisses. Nous devons rentrer au club. A notre arrivée, il ne reste plus que Kate et Isa. Elles rentrent ensemble, main dans la main et en rigolant comme des ados. Quant à nous, Caro nous invite à passer la nuit chez elle. Nous acceptons volontiers. 10h00, le lendemain. C‘est fourbu que je fais mon apparition sur la terrasse. Je suis seul. Sév dort encore et Caro, certainement aussi. J’ai toujours la gaule mais elle ne me fait plus mal. Je teste la température de l’eau de la piscine du bout du pied, je pique une tête. Je sors et me douche. Je vais à la cuisine et fais le kawa. Caro arrive par la terrasse en sueur. Elle est allée faire son footing. — Alors beau gosse, toujours en forme à ce que je vois. Il y a une boîte de pilules sur le bar de la piscine. Tu en reprends une maintenant et une autre dans deux heures. Le programme est chargé. La puce dort encore ? Je vais prendre ma douche et ensuite je file cinq minutes en ville. A plus… Quelle santé. Bon restons calme, je me sers un café, ensuite bronzage intégral. Je m’installe au comptoir et aperçois la boîte de gélules. Sans me poser de questions, j’en reprends une. Il est vrai que l’érection obtenue hier était des plus impressionnantes. Puis je m’allonge à l’ombre et je m’endors. Il est 11h00 quand Caro me réveille. Elle est accompagnée de Séverine. Elle a pris sa douche. — Bon il faut que je parle en tête à tête avec Sév, on te laisse préparer le barbecue. Allez, ...
... viens ma chérie… Je repique une tête pour me réveiller et je vais allumer le feu. 11h30, elles reviennent en papotant de choses et d’autres. Le repas se passe au comptoir, festif, comme toujours chez Caro, les apéros et le rosé coulent à flot. Baignade coquine mais sans plus. Caro sort se sécher, me montre la boite de pilules. Je lui fais signe de la main que tout est OK. — Bon, Hervé, on te laisse, on va chez l’esthéticienne se faire une beauté. Fais comme chez toi, on en a pour deux heures, voire trois. Allez, allons-nous faire belles. On est attendues. Je reste un moment dans la piscine. Me vient l’idée d’aller visiter la villa. Je rentre par la salle à manger, sur ma droite un salon et sa méga TV, à ma gauche la cuisine américaine de style provençal, Devant moi un long couloir. La pénombre et l’odeur m’y attirent. A gauche la salle de bain avec baignoire à remous et douche à l’italienne, un peu plus loin une chambre d’amis (où Sév et moi avons dormi cette nuit), un bureau, une seconde chambre d’amis et la chambre de la maîtresse de maison. Je pousse la porte. Tout est impeccablement rangé. Les volets entrebâillés et la fenêtre ouverte laissent passer une lumière d’été. Je n’insiste pas et je vais dans la deuxième chambre. Elle dans le noir le plus complet. Je cherche à tâtons l’interrupteur. Une fois éclairée, la chambre respire le sexe. Un vrai lupanar. Un immense matelas à eau au centre, des lumières d’appoint de toutes les couleurs, miroir au plafond et sur deux des murs, ...