1. Une soirée de réception, le passé resurgit 4


    Datte: 26/04/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Quand je pénètre dans la lumière de la salle de réception, il y a encore beaucoup de monde. Tout de suite je sens les regards se porter sur moi et ma tenue. Je suis rouge de honte et j’ai les jambes qui tremblent. Sans mon écharpe, je réalise que mes épaules sont nues et que ma poitrine n’est cachée que par deux triangles de tissu qui se rejoignent à la taille. Mon dos est aussi découvert par un décolleté qui descend jusqu’au creux des reins. Les lumières violentes projetées par les énormes lustres de la salle doivent me détailler et montrer mon désarroi. Je me sens nue, déshabillée par ces regards dont certains sont chargés de jugements sévères. La femme de l’homme honoré ce soir dans cette tenue arrogante et provocatrice ! A cet instant je souhaite mourir, devenir transparente, disparaître. Mais je ne peux me le cacher, cette situation humiliante m’excite, je sens que je mouille et j’ai l’impression que tout le monde voit ma cyprine couler le long de mes cuisses avant de souiller mes bas. Je balaie la salle du regard à la recherche de mon mari avec le fol espoir de ne pas le voir. C’est alors que je réalise soudain que je n’ai pas rafraîchi mon visage. Je sens sur la peau de mon visage la salive séchée de l’immonde libidineux, adipeux, copain d’Antonio. Je me tourne vers le couloir qui mène aux toilettes. Ils sont là tous les deux, appuyés sur le mur. Ils m’adressent un sourire cauteleux qui me glace. Le gros a une main contre son sexe et se tripote la bite au dessus de ...
    ... son pantalon. Il ne se rend même pas compte combien ce geste est vulgaire, mal placé dans cet endroit. Mais en même temps il accroit mon excitation. Je suis devenue "addict" à cette perversion. Quand je retourne la tête, je me trouve nez à nez avec mon mari. - Où étais tu passée encore ? Il contient sa colère car derrière lui j’entrevois le général qui me regarde de son regard méprisant de tout à l’heure. Pour cet homme je suis une névrosée sans intérêt, si ce n’est que je suis la femme de son ami. Je n’ai pas le temps de répondre que mon mari ajoute : - Et ton écharpe ? Tu es presque nue ! Je ne sais quoi répondre. Il me foudroie du regard ! Un silence pesant s’installe entre nous. J’ai l’impression que des milliers d’yeux sont braqués sur moi. - Je l’ai maladroitement salie aux toilettes et je l’ai rapportée au vestiaire. Ma réponse semble le satisfaire car il me prend le bras et m’attire à ses côtés. On se retourne. Le Général me toise, mais cette fois je perçois dans son regard un intérêt nouveau pour ma tenue. En fait il a les yeux braqués sur ma poitrine, ce qui n’échappe pas à mon mari. Il faut dire que le décolleté caché simplement par mes cheveux qui tombent mes épaules est des plus avenant. C'est alors que je me rend compte que mon mari, qui a perçu l'intérêt soudain du Général pour mes seins, me serre contre lui, dans ses bras ce qui a pour effet de faire bâiller les bretelles de ma robe et dévoiler un instant la pointe de mes seins nus. Je me laisse faire. Le jeu de ...
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