1. Une soirée de réception, le passé resurgit 4


    Datte: 26/04/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... de les rejoindre. Le cauchemar revient. Les yeux braqués dans ceux du Général; je m'écarte et recouvre ma poitrine. - Je vous en prie mon général, vous me troublez ! Sur ces mots je me dégage, adresse un rapide regard à mon mari. - Excusez-moi, je vais me refaire une toilette ! Je tourne les talons pour me diriger vers les toilettes et retrouver mes tourmenteurs. Après quelques pas, une main me prends l'épaule. - Tu t'es comportée comme une putain ! Tu te rends compte ? Ma réputation ! Tu n'as aucune considération pour moi. - Mais mon chéri j'ai cru voir que tu appréciais comme ton ami d'ailleurs de profiter de mes atours, non ? - J'étais bien obligé. Mais qu'est-ce qu'il va penser de moi maintenant. Un mari cocu, à la femme frivole. Il nous a invités à venir souper ce soir chez lui après la soirée ! J'ai bien compris qu'il voulait surtout te revoir. Je suis déshonoré ; et cocu ! C'est à mon tour de prendre un ton des reproches. - Tu exagères ! C'est toi qui as voulu m'exhiber ! Sur ces paroles je le laisse et vais vers les toilettes. S'il savait que je n'avais plus de culotte ! Et je sentais la mouille sur glisse lentement le long de mes cuisses. Arrivée au niveau d'Antonio et de son copain, je m'assure de mon mari. Il nous regarde. La panique me prend ! Les deux hommes sourient et semblent satisfaits. Je veux les dépasser faisant mine de ne pas les connaître mais je me souviens soudain que le gros lui avait été présenté. Je leur fais face. - Très jolie exhibition, bravo. ...
    ... Vous avez été obéissante. Il reprit le vouvoiement pour encore plus m'humilier ! - Laissez-moi maintenant, mon mari va se douter. - Mais c'est très bien. Il va comprendre la pute que vous êtes. Allez aux toilettes, mais à celles des hommes cette fois. Oui, des hommes. Faites l'innocente qui s'est trompée, choisissez une cabine et ne fermez pas le loquet de la porte. - Mais vous êtes fous ! Cette fois c'est impossible. Non je ne veux pas, je ne peux pas ! - Comment dites-vous ? - Non ! Je ne le ferai pas ! - Très bien, Antonio, tu viens, on va rejoindre son cher mari et le Général. La panique m'envahit à nouveau. Ils en sont capables, j'en suis sûre. - Non ! Attendez ! Je ferais ce que vous voulez mais quand il y aura moins de monde. - Non ma chère, tout de suite. Allez ! La peur au ventre je me dirige vers les toilettes. Sans hésiter, je pousse la porte sur laquelle s'affiche une silhouette en pantalon. Celle des hommes. Il n'y a personne dans les lavabos. Quatre cabines sont alignées. La première est occupée, je file à celle du fond, dont la porte est entrouverte. Je m'y glisse et ferme tout de suite la porte avec le loquet. Je tends l'oreille. L'occupant de la première cabine tire la chasse d'eau, passe aux lavabos. J'entends qu'il se lave et se fait sécher les mains. Il sort. J'ai le cœur qui bat à cent à l'heure. La porte couine. On vient. Mon sang se glace. Au bas de la porte j'aperçois un ombre. La poignée s'abaisse et résiste. - Ouvrez petite salope. Ouvrez ! C'est la ...