1. Les Yeux Noirs (2)


    Datte: 26/04/2021, Catégories: Hétéro

    ... sa peau. Je regarde sa tête se pencher en arrière. Ma bouche continue sa route lente et sensuelle sur son cou, sur ses épaules, son torse, son ventre... Mes mèches de cheveux effleurant ses cuisses et son sexe. kqtkoohl Ma bouche continue son voyage sur ses cuisses. Je regarde son sexe grossi et gonfler réclamant que je m’occupe de lui. Je résiste à la tentation. Je décide de lui ôter les bas qui lui bouchent la vue et de le relever. Une fois qu’il est debout, je m’agenouille. Je lève les yeux vers les siens effrontément et le prends en bouche. Mes lèvres commencent par l’effleurer à peine... Pendant que mes mains remontent le long de ses jambes. Ce qui vu la taille de son sexe finit de l’exciter. Je sens son bassin qui retient ses mouvements. Je sens que je ne suis pas loin du point de rupture. Je sors son sexe de ma bouche et entreprends de jouer avec du bout de ma langue. Remontant de ses bourses à son gland. Gourmande et vive, je sens l’envie qui le gagne de s’engouffrer avec force dans ma gorge… Je me recule et décide de ne jouer qu’avec son gland.... Quand je sens qu’il ne croit plus à ma bouche, je l’aspire entier lui arrachant un gémissement intense de plaisir. Satisfaite, je me relève, et je vais m’assoir jambes croisées dans mon fauteuil. Je le regarde longuement : Massif, excité, entravé et nu. J’aime voir la frustration que j’ai créée. Mes yeux cherchent une table… Je sais qu’il a dû penser à nous déshydrater. Gagné ! Je vois un seau à champagne et deux flutes. ...
    ... Je me lève ignorant ce corps stoïque en plein milieu de l’espace qui réclame que je mette un terme à ses souffrances. Je me sers une flûte, je bois une gorgée. Je sais qu’il me regarde. Je sais qu’il est frustré. Je sais qu’il brûle de m’attraper et de me prendre avec force. Mais ce soir il a été convenu que je menais la danse. Je m’approche de lui, le regarde intensément et le contourne. Je me délecte une dernière fois de le voir ainsi entravé. Je lui glisse avec ma voix la plus douce « assieds-toi ». Il s’exécute. Je l’abandonne un instant, je vais dans la salle de bain adjacente, je me mets un bain à couler. Et reviens. Il n’a pas bougé. Je passe ma main dans ses cheveux, elle se perd sur sa joue, coure dans son cou et glisse jusqu’à ses bras. Je défais en douceur les entraves sur ses avant-bras, remonte entre ses omoplates, défais mon nœud, détoure ses biceps. Les cordes gisent à côté de lui. Je viens m’agenouiller devant lui et entreprends de masser légèrement ses bras que j’ai malmenés avec mes cordes… Puis je vais lui servir une flûte de champagne, la lui porte et retourne m’assoir un instant dans mon fauteuil. Le silence, qui jusqu’alors était notre complice, est devenu pesant. L’ambiance dans cette pièce est électrique. Nous sommes là à nous observer l’un l’autre comme des animaux sauvages regardant avec appréhension une clôture électrique… Nous savons que nous allons la passer, reste juste à savoir quand et comment. Une chose est certaine, ce ne sera pas en douceur. ...