La passion du passé, partie 1.
Datte: 27/04/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... J’ai notamment fréquenté un temps une star de la pop anglaise puis une mannequin italienne. Sans compter les aventures d’un soir avec des supportrices… avec le temps, je suis devenu un peu coureur. Et ce soir je compte bien passer du bon temps avec mes collègues, bière à la main, et filles dans les bras. Je rejoins mes compaires à 17h sur la place des basques. ELLE. On arrive à notre hôtel vers 15h. On récupère les clefs de notre chambre et on monte y déposer nos affaires. J’en profite pour envoyer un message à Christophe : ‘’ coucou mon cœur. On est bien arrivées. Profite bien de ton week-end entre mecs. Je t’aime. Bisous où tu sais ‘’ ‘’ coucou ma puce. Amuse-toi bien et faites attention à vous. Moi aussi je t’aime. Vivement que tu puisses me les faire alors ces bisous.’’ C’est avec le sourire aux lèvres que je sors ma petite robe blanche en lin de mon sac. Je l’enfile avant de rejoindre mes amies dans la salle de bains. Elles sont en pleine discussion quand je passe la porte et ne m’entendent pas arriver. - Non, mais franchement, tu as vu les belles fesses qu’il a ? Elle en a de la chance d’avoir un mec aussi canon… dit Sophie. - Grave, surenchérit Magali. En plus, j’étais avec eux à la piscine y a pas longtemps, et je peux te dire qu’il a l’air d’être gâté par la nature le beau Christ… - Je rêve ou vous parlez de mon mec ? Dis-je faussement outrée. Elles se retournent toutes les deux avec un petit sursaut. - Euh, c’est pas, euh… commence à bafouiller Magali. J’éclate ...
... de rire. - C’est bon les filles, je suis pas vexée. Je suis même plutôt flattée de savoir que vous trouvez mon mec canon et je confirme, la nature fait bien les choses. Elles deviennent soudain toutes rouges avant de rire à leur tour. Je relève mes cheveux pour me faire un chignon un peu pin-up avant de nouer mon foulard rouge pour finaliser ma coiffure. Les filles terminent de se préparer elles aussi. A 17h, nous arrivons sur la place des basques de Bayonne. De l’autre côté, près d’une fontaine, un attroupement s’est formé, mais impossible de savoir pourquoi. LUI. On a à peine posé le pied sur la place, que les gens nous reconnaissent et viennent à notre rencontre. C’est parti pour une séance de photos et d’autographes. Ce n’est pas ce qui me plaît le plus dans ce boulot, mais je m’y plie de bonnes grâce : j’étais comme ces gens lorsque plus jeune j’étais moi aussi fan de joueurs. Alors que je pose à côté d’un jeune de 17 ans, j’aperçois de l’autre côté de la place une personne qui me ramène à mes vieux démons. Impossible, ce ne peut pas être elle. Qu’est ce qu’elle ferait ici ? Elle est sûrement toujours à Paris. - Monsieur Minalto ? La mère du jeune m’interpelle. Je quitte cette jeune femme des yeux pour regarder l’objectif de l’appareil photo. Quand je lève à nouveau les yeux vers le côté opposé de la place, elle et ses amies ont disparu. De toute façon, il est impossible que ce soit elle. ELLE. Nous flânons dans les rues déjà bien animées de la ville. La chaleur est ...