Comment je suis devenu un homme Ch. 03
Datte: 27/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Avec le départ de mon père convalescent pour la campagne, et en attendant que maman le rejoigne pendant ses vacance, je retrouvais le chemin de leur appartement et nos ébats reprirent, avec d'autant plus d'intensité que maman, contrairement à moi depuis ma rencontre avec Jeanine, était resté sur sa faim! Comme je ne souhaitais pas abandonner Jeanine, j'encourageais ma petite maman à aller retrouver papa chaque week-end. Chaque samedi soir, elle filait directement à la Gare d'Austerlitz et prenait la direction du Loiret, pour n'en revenir que le lundi en fin d'après midi... M. Goulard cultivait sa cirrhose avec une belle constance, laissant ainsi à sa Jeanine la plupart de ses nuits du samedi pour parfaire l'apprentissage de son jeune amant. De sa jeunesse cette petite femme avait conservé le goût pour une pratique su sexe, déluré. Elle aimait varier les positions, hors sur ce plan, à part le classique « missionnaire » et la « levrette » que j'avais pratiqué d'instinct lors de notre première rencontre, j'avais tout à apprendre. De plus les dimensions exiguës de ma chambre sous les toits ne permettaient pas d'y loger un grand lit. Mais comme ce qui primait avant tout était autant, pour employer l'expression de Jeanine, « de me vider les couilles », et de satisfaire ses ardeurs, nous nous contentions de mon lit de 90. Comme elle avait remarquer le plaisir que je prenais à commencer nos ébats par un « bouffage » de moule, elle en vint rapidement à un partage équitable et au ...
... soixante-neuf. Je préférais avoir le « dessous », la tête entre ses bonnes cuisses potelées, ses nichons bien en main pendant que sa bouche montait et descendait sur mon « poireau » comme elle disait. C'était agréable d'avoir simultanément l'écoulement de sa jouissance dans la bouche et de pouvoir lâcher mon foutre dans la sienne. Dans mon esprit d'alors, obliger ou faire en sorte que mes partenaires avalent mon foutre de leur plein gré, me donnait une agréable sensation de domination. Plus tard, ma première partenaire à lunette, me procura un plaisir intense lorsque j'éjaculai sur son visage, et la « débarbouillais» de sperme tiède. Mais c'est une autre histoire... Je rentrais à l'appartement, vide puisque maman ne reviendrait que demain soir, me confectionnais un sandwich, et décidais d'aller dormir dans ma chambre sous les toits. En montant, je croisais Jeanine qui descendait sa poubelle. Elle me gratifia au passage d'un sourire radieux. J'avais dans l'idée de bouquiner en attendant de pouvoir écouter sur mon petit poste radio mon émission quotidienne de jazz. Il était près de minuit, je ne dormais toujours pas lorsqu'il me sembla entendre gratter à ma porte. Je me levais et comme le grattement persistait j'entrouvris. Jeanine en robe de chambre se tenait là. Je la fis entrer. - Goulard dort comme un loir, alors je me suis dit autant profiter de l'aubaine... - Bonne idée entre, j'étais entrain de lire mais... - Mais tu préfères un gros câlin de ta Jeanine, hein mon petit ...