1. Comment je suis devenu un homme Ch. 03


    Datte: 27/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... François? À vrai dire l'idée était tentante, bien que je fusse encore tout à mes souvenirs de mon après-midi. - C'est sûr, dis-je en envoyant valser mon pantalon Jeanine se mit tout de suite à l'œuvre, tombant à mes genoux elle se mit en devoir d'extirper ma queue de mon slip, l'engloutissant presque aussitôt dans sa bouche avide. Je la laissais travailler, me contentant de passer la main dans ses cheveux, comme on caresse un chien. Une chienne avide c'est bien ce qu'elle était. Pas besoin de long préambule. Je l'avais baisé une bonne partie de la nuit précédente, mais elle était insatiable cette vieille peau. Elle en redemandait toujours. - Allez viens plutôt sur le lit ma grande, que je puisse moi aussi "t'aimer". Elle ne me fit pas répéter mon invite. Le temps de nous mettre complètement à poils, et je m'allongeais. Mon amante vint me rejoindre, tête bêche et nous nous mîmes à l'œuvre. Toute à la pensée de Claire, je m'appliquais à sucer le clitoris de ma vieille Jeanine, clitoris qui ne tarda pas à sécréter sa divine substance. Je n'avais pas envie de jouir dans sa bouche, aussi lui fis-je comprendre que je désirais la pénétrer. Elle s'installa à ma place, et je vins sur elle. J'engageais mon zob en douceur, mais bien à fond, puis la baisais doucement. Je submergeais littéralement ma partenaire mûre, de baisers, la serrant tendrement. Dans ma tête, je m'imaginais faire l'amour à maman... - Viens mon petit, viens ne te retiens pas. Donne moi ton plaisir mon chéri, c'est ...
    ... trop bon! La voix de Jeanine me ramena brutalement à la réalité. Certes, elle était encore très consommable, mais de là à imaginer une jeunesse! Bien planté dans son vagin accueillant je lâchais ma semence, les yeux fermés. - Ben dis donc t'es drôlement amoureux ce soir mon bébé. Dommage que doive redescendre chez moi. - Pas tout de suite, reste encore un petit peu, j'ai envie de rester dans toi... - Un petit peu, mon petit chat, mais pas plus... Goulard risque de se réveiller et se demander où je suis passée. La lumière du du jour naissant filtrant par la lucarne m'éveilla. J'étais seul, il était six heures. Je descendis à l'appartement familial, pour procéder à ma toilette. Heureusement, le boulot allait me fournir un dérivatif. C'était sans compter sur les hasards du sort. Et le sort avait les traits de Gisèle, une brunette avenante, qui me poursuivit jusqu'à la fermeture du magasin dans tous les recoins de la réserve. En sortant du travail, alors que je croyais enfin lui échapper, elle me rejoignit en trottinant. - Tu as l'air bien pressé François - C'est que je dois préparer à manger, ma mère rentre dans la soirée... - Justement tu, veux pas me raccompagner, j'habite pas très loin, du côté de la Gare de Lyon. - Si cela te fais plaisir... militaire depuis un peu plus de quatre mois venait d'être affecté en Algérie. Fini les permissions quasi hebdomadaires, il ne reviendrait pas avant au moins dix, voir douze mois. Bref, "Gisou", bien seule était en retard d'affection! Il ...
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