1. Stéphanie (1)


    Datte: 27/04/2021, Catégories: Transexuels

    Je m’appelle Stéphanie, mais ce n’est pas le prénom que m’ont donné mes parents. Je suis devenue Stéphanie. Voici la longue histoire de mon apprentissage et de mon accomplissement. De Samuel à Stéphanie... Adolescent, j’avais une sexualité classique. J’ai eu plusieurs copines dès l’âge de 12 ans, avec lesquelles je n’ai au départ pas eu de relations sexuelles, enfin pas avant 16 ans si mes souvenirs sont bons. Manon, une fille rencontrée sur le lieu de vacances avec mes parents, fut la première. Je me souviens encore de son corps, nettement plus mature que le mien. Mais le mien n’a peut-être jamais été mature... Je suis gloablement assez mince mais avec un trait bien particulier, des fesses proéminentes et fermes. Je mesure 1m68 et je serais presque imberbe si mes poils n’étaient pas assez foncés comme mes cheveux. Plus jeune, j’étais sportif et assez musclé pour mon âge. Je faisais beaucoup de sport, mais j’ai arrêté lorsque j’ai commencé mes études de droit. Au départ, rien ne me prédisposait à la féminisation. Ce qui, je crois, a changé mon existence c’est ce premier faux pas, lorsque j’étais un après-midi seul chez mes parents, l’année de mon BAC. J’étais censé réviser, mais je rêvaissais dans la maison, allant d’une pièce à une autre. Dans la buanderie, je suis passé à coté du linge qui séchait. Comme ma mère me demandait souvent de ranger avec elle, j’ai touché le linge, presque uniquement composé de vêtements de ma mère, pour voir s’il était sec. J’avais déjà ...
    ... remarqué qu’elle utilisait de la lingerie, mais jamais ce qu’il y avait ce jour là. Un ensemble blanc tout en dentelle, une jupe froissée blanche et grise, ainsi qu’un porte jaretelle et des bas blancs. J’ai effleuré les sous-vêtements, qui n’étaient pas complètement secs, et rapidement, sans que je puisse dire pourquoi, j’ai commencé à m’imaginer en train de les porter. Je me sentais déjà coupable, alors que je n’avais encore rien fait. Je me suis assuré que j’étais bien seul, et je me suis enfermé dans ma chambre avec la culotte et le soutien-gorge. Je me suis déshabillé, et j’ai enfilé la culotte. Mon sexe tenait tout juste à l’intérieur. Je caressais mes fesses sur la culotte, et le sexe en appuyant délicatement dessus, à travers le tissu. Malgré l’aspect encore légèrement humide, j’adorais cela. Je n’arrivais pas à accrocher le soutien-gorge et j’ai du le passer comme la culotte, en le faisant remonter. Je me souviens avoir l’avoir rempli avec des chaussettes, ma mère devant faire alors du 90C environ. Je me suis glissé jusqu’à la salle de bain, et admiré devant la glace. J’adorais cette sensation de culpabilité, de féminité, j’étais dans tous mes états, et j’ai rapidement eu une érection que la culotte ne masquait pas. J’ai tenté d’enfiler le porte-jaretelle et les bas, mais c’était la première fois que j’y étais confronté, et j’ai juste réussi à enfiler les bas, qui étaient secs et tenaient alors plus ou moins sans les jaretelles. La porte qui s’ouvrait en bas m’a fait ...
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