1. Stéphanie (1)


    Datte: 27/04/2021, Catégories: Transexuels

    ... chaussures à talon, Karine ne faisant pas du tout la même taille que moi. J’en ai rapidement commandé deux paires sur internet, une de ballerines à talons plat, pour m’habituer, et une paire d’escarpins avec des talons de 10cm. J’ai commencé à porter systématiquement les habits féminins de mon ex lorsque j’étais rentré chez moi le soir et les week-ends, puis peu à peu, en sortant. La première fois ce fut pour aller au supermarché faire des courses. J’avais mis un jean, des chaussures de ville, un polo, un manteau, et je portais en dessous une paire de bas autofixants noirs que j’avais assurés avec un porte-jaretelle noir également, et une culotte blanche satinée. Le frottement des bas sur le jean, et celui de la culotte sur mes fesses et mon sexe, ainsi que de me sentir la taille tenue et serrée m’excitait au plus haut point. S’ajoutait à cela le risque de se faire prendre. Je redoutais en particulier une fouille par le vigile, certes rare, mais qui aurait été désastreuse. Je n’ai du rester ce jour là que dix à quinze minutes dans le supermarché, prenant un réel plaisir à me pencher en avant pour sentir la culotte frotter sur mon jean et mes fesses, comme si les personnes présentes pouvaient l’apercevoir. Plusieurs débuts d’érection m’ont compliqué la tâche, et le stress de la situation m’excitait plus qu’il ne me calmait. Il ne s’est rien passé de plus, et j’ai donc commencé à multiplier les sorties de ce genre. ldilqqyx Il m’a fallu plusieurs semaines pour parvenir à ...
    ... marcher avec les escarpins. Je faisais beaucoup de bruit en marchant dans l’appartement, mais j’étais au rez de chaussée, et la veille dame au dessus ne s’en préoccupait sans doute pas plus que ça. Autant je pouvais porter des sous-vêtements féminins sur mon lieu de travail, autant les vêtements visibles, et les chaussures, étaient exclus, ce qui me frustrait. J’avais entendu parler d’exhibitionnistes qui allaient sur un parking et dans un lieu de promenade près de chez moi, à l’entrée d’un bois, mais je n’osais pas franchir le pas. Je prenais par contre de plus en plus de risque lors de mes sorties, cinéma, achats, restaurants, y compris avec des amis. Je savais que l’hiver, en gardant un pull, je pouvais sans risque garder un soutien gorge, mais sans le rembourrer. Je ne prenais le risque de le rembourrer que lors de promenades spéciales, lorsqu’il faisait froid, et que je conservais un grand manteau. Progressivement, j’ai agrémenté ma garde robe féminine de lingerie de plus en plus sexy et osée, de chaussures très féminines, bottes ou escarpins, de robes, jupes ou tailleurs. Je consultais et usais de vidéos sur internet pour me féminiser, me maquiller durant les week-ends. J’étais maintenant totalement épilé et de plus en plus femme. A la réception d’un de mes nombreux achats, je découvris dans le colis un formidable cadeau : un plug. Un rosebud violet de petite taille, même si j’ignorais alors ce que c’était exactement. Si j’avais déjà titillé mon petit oeillet, je n’avais ...