1. Surprise à la plage


    Datte: 04/11/2017, Catégories: fhh, grossexe, vacances, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral

    ... faire asseoir Federico (il nous apprit son prénom un peu plus tard) sur le siège conducteur de son 4x4, les jambes pendant dans le vide. Là, ne voyant toujours aucune objection de ma part et, je dois l’avouer, à ma grande surprise, pour mon plus grand plaisir elle prit définitivement l’initiative : elle abaissa le short de Federico et, comme au ralenti, j’ai alors vu la main de ma chérie s’avancer vers la tige de chair tendue. Mon cœur s’est mis à battre très fort quand ses doigts se sont repliés dessus. Elle a étreint la grosse queue, d’abord avec hésitation. Notre ami a grogné de contentement. — Oh oui, c’est bien, vas-y ! ai-je dit, dans un état second. Super, ma chérie, branle-la bien !— Qu’elle est grosse et dure ! a ajouté Valérie, dans un souffle. Elle s’activait maintenant avec plus de vigueur. Ses deux mains, du coup, couraient sur l’incroyable colonne de chair. J’ai reporté un instant mon attention sur le visage de ma compagne. J’ai remarqué alors le trouble profond qui l’habitait : sa respiration était devenue haletante, son regard trouble était rivé sur le magnifique pieu, et surtout, ses lèvres, comme entrouvertes, témoignaient de l’envie qu’elle semblait avoir de la sucer. — Si ! Si ! continuait à grogner notre bienheureux Espagnol. Excitée par nos encouragements, elle faisait courir ses doigts à grande vitesse sur l’énorme bite, allant prestement des couilles velues au gland gorgé de sang. Agenouillée maintenant, le visage à la hauteur du gros chibre, la ...
    ... bouche béante, comme prête à l’avaler, elle se déchaînait comme une hystérique sur l’objet de son excitation. D’un coup de reins, l’homme a porté son gland à l’approche des lèvres luisantes de ma compagne. Pendant même un bref instant, il les a effleurées comme je pus le constater car un fil de méat sans doute s’étirait maintenant entre ses lèvres et son gland… Sans interrompre pour autant ses caresses, elle me regardait, le regard vitreux de plaisir et s’écria : — Qu’elle est grosse ! Qu’elle est belle ! Régulièrement à présent, l’énorme gland venait à la rencontre de la bouche béante de ma chérie, visiblement tentée de happer la bite tendue. J’ai extirpé à mon tour mon sexe, dur comme l’acier. Le spectacle de ma femme agenouillée, le regard extatique qu’elle portait à l’énorme engin, m’excitaient au plus au point. À un moment, elle a tourné son visage vers moi et, comme si elle avait lu mes pensées, elle me demanda : — Je peux la sucer ?— Oui, oui ! Vas-y, ma chérie, pompe-le ! Semblant comprendre la demande de Valérie, d’un ample mouvement du bassin en avant, il avait poussé d’un coup l’énorme bite contre ses lèvres humides. Le cœur battant, j’ai vu alors le gland congestionné entrer dans la bouche gourmande de ma chérie ! Quelle sensation curieuse et troublante que d’observer ainsi sa compagne, l’être le plus cher et le plus intime, agenouillée de la sorte devant un autre homme, pratiquant sur lui ce qu’il est convenu d’appeler une pipe ! Quels sentiments étranges et complexes ...