1. Surprise à la plage


    Datte: 04/11/2017, Catégories: fhh, grossexe, vacances, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral

    ... peuvent pousser un mari à offrir de la sorte sa femme à un autre pour y puiser un intense plaisir ! Car je me régalais à l’observer ainsi, la bouche pleine de la colonne de chair ! Plus rien n’existait maintenant pour elle ! Sans retenue, elle s’efforçait d’enfoncer le plus possible de cette belle queue dans sa gorge. Plus rien ne comptait, semblait-il, pour elle, que le plaisir qu’elle prenait à s’enfoncer profondément la bite gonflée. Sa bouche, maintenant distendue, s’efforçait d’en avaler le plus possible dans un bruit de succion de plus en plus sonore. Tout en me masturbant frénétiquement, je l’encourageai de la voix. — Oui, ma chérie ! Régale-toi bien ! Mange-la toute ! Suce-la profond ! Lèche-lui les couilles ! Libérant les fines bretelles de sa petite robe, il avait empoigné ses seins et les tripotait doucement ; il caressait ses tétons dressés. À mon tour j’ai éprouvé le besoin de la toucher. J’ai glissé ma main sous sa robe maintenant retroussée, jusqu’à sa chatte brûlante. Sa fente était gluante de mouille. Ma caresse a dû multiplier ses sensations, car visiblement elle se déchaînait à présent comme une folle sur le gros sucre d’orge tendu. Moi aussi, je m’enflammai, du coup. Je criai presque : — Suce-le bien, ma salope, tu aimes ça, hein, les grosses queues ! Et je la branlai frénétiquement. Elle m’écouta, elle suça, elle ...
    ... pompa, elle avala les grosses boules velues. Elle s’interrompait par moment pour me souffler : — Qu’elle est bonne ! Qu’elle est grosse ! Lorsqu’il commença à gémir, je savais qu’il n’allait pas tarder à jouir. Mais Valérie ne s’en soucia guère et continua de le sucer comme si de rien n’était, puis soudain elle se recula un peu et lui montra sa langue. Elle était belle, ma femme, à cet instant précis, même si c’était un autre homme qui en profitait. Sa jouissance arriva d’un coup. Plusieurs jets de sperme arrivèrent directement dans la bouche de ma femme, ce qui lui déclencha un nouvel orgasme. Je vis à son air ravi qu’elle ne s’attendait pas à une telle quantité. Il lui mettait la dose ; j’avais rarement vu ça. On aurait dit qu’il urinait. Elle avalait au fur et à mesure tant bien que mal et faillit s’étouffer plusieurs fois. Au bout de quelques secondes, elle reprit enfin son souffle et nettoya consciencieusement le chibre de notre hôte, puis le mien qui n’avait pas résisté a un tel spectacle. Puis, me saisissant par la tête, elle m’embrassa goulûment, mêlant dans ma bouche des relents de sperme inconnu. C’est alors qu’elle me chuchota à l’oreille, et je compris qu’elle n’était pas le moins du monde rassasiée et qu’elle était encore prête a bien des facéties : — Et si on le suivait chez lui, ça te plairait? Mais ça, c’est une autre histoire ! 
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