Justine, Jérôme, Rex et la famille. (5)
Datte: 04/11/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
Justine, Jérôme, Rex et la famille. Ch5. Les nouveaux jouets de nos parents. Où allions nous ainsi ? Emportés par cette chose toute nouvelle, ce plaisir charnel, indécent, nous ne pensions quasiment plus qu’au sexe et au plaisir. Justine, coquine, avait un je-ne-sais-quoi de pervers poussant le vice partout. Quand nous sortions en ville, elle portait des tenues de plus en plus provocantes. Elle jonglait entre minijupes, micro-shorts et leggings ; elle les choisissait les plus moulants et les plus courts possible. Pour les leggings, c’était comme une seconde peau montrant tous les détails son anatomie, moulant ses fesses et sa chatte comme si elle avait été peinte à la manière du body painting. Pour les shorts et les minis, voire les micro-jupes, c’était exactement la même chose : les jupes ras-du-cul et les shorts déchirés lui rentraient dans le cul, lassant voir le début de ses fesses ; les gens se retournaient sur son passage. Un jour, il s’est produit un évènement que nous espérions et attendions avec une certaine impatience ; nous faisions tout pour que cela arrive. Je vais vous le raconter. Alors que Justine était indisposée – une histoire de filles – j’en profitais pour parfaire mon épilation avec la ferme intention de la lui montrer, et de lui faire la même chose. J’ai oublié de préciser que nous occupons l’étage de la maison familiale avec la salle de bain dont nous ne verrouillons jamais la porte ; quant à nos parents, ils ont une suite au rez-de-chaussée avec ...
... salle d’eau. Nous faisions le plus souvent possible notre toilette ensemble. Alors que j’allais prendre ma douche, Justine entra dans la salle de bain et découvrit le résultat de mon travail d’esthéticien en herbe. C’est avec humour qu’elle me traita de petit branleur en me faisant remarquer que je ressemblais plus à un pré-ado qu’à un homme ; par contre, elle me dit beaucoup aimer et trouver ça excitant. J’en profitai pour lui demander d’en faire autant ; elle accepta avec enthousiasme, et nous passâmes à l’action. Une fois épilés, douchés, crémés et parfumés, alors que nous étions en admiration devant l’immense miroir de la salle de bain reflétant l’image nos corps imberbes, la porte s’ouvrit. Dans l’embrasure, notre père en peignoir, l’air surpris et embarrassé à la fois, nous dit : — Mais qu’est-ce que vous faites là ? Justine, avec une répartie sans faille, lui sortit un : — Et toi ? Tu n’as pas de salle d’eau en bas ? — Si... mais... je ... — Tu voulais prendre un bain ou nous voir à poil ! C’est cela, hein ? Visiblement très embarrassé, il ne répondit rien ; Justine, avec son air espiègle, reprit : — Bon, tant que tu es là, entre et donne-nous ton avis sur notre épilation. Un échange de regards entre nous et nous savions d’ores et déjà ce qui allait se passer. Papa entra et referma la porte derrière lui. Une bosse se formait au niveau de son bas-ventre ; elle déformait son peignoir, et il s’en rendit compte. — Je vais vous laisser... je ne peux pas rester ... Vous êtes ...