1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (5)


    Datte: 04/11/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... vais vous montrer quelque chose. Buvez un peu et suivez moi, nous dit-il avec un large sourire. — Éric, nous avons deux jolis jouets, tu ne crois pas ? demanda maman à papa. — Oui, ils m’ont l’air d’être doués ; tu leur as déjà appris des choses, je suppose ? Allez, venez. Ils se levèrent et nous précédèrent. Nous sommes passés par la cuisine et la buanderie pour arriver dans le garage. Papa se dirigea vers une porte fermée à clé qui donne sur une pièce que papa avait aménagée en atelier : avant d’avoir son poste de directeur, il était passionné par les modèles réduits et en fabriquait. Je l’ai vu construire des avions et des bateaux en bois ; certains étaient radiocommandés. Mais depuis longtemps cette porte était restée fermée à clé, et la clé, je n’avais jamais réussi à la trouver. Papa ouvrit la porte, nous dit de nous retourner. Après un court instant, je sentis qu’on me mettait un bandeau sur les yeux, puis on me prit la main ; je reconnus celle de papa qui me tirait. Il me plaqua contre un mur. J’étais terriblement excité, je bandais comme un Turc. Il y eut un bruit de chaînes. On me mit des bracelets aux chevilles et aux poignets ; puis, accompagnés par un bruit de cliquets, mes poignets s’élevèrent en l’air. Je sentis qu’on m’immobilisait les pieds ; je ne pouvais plus bouger. Le bandeau disparut. Je découvris Justine à côté de moi, dans la même posture que moi. Sur le mur d’en face, le placard à outils était accroché au mur. Papa y rangeait, suspendus à des ...
    ... pointes, son outillage de modélisme. À la place des outils, un tas d’objets provenant d’un sex-shop étaient suspendus. Je bandai de plus belle. — Alors, mon nouvel atelier vous plaît-il ? demanda papa. Pendant ce temps, maman nous titillait les tétons d’une main et de me broyait les couilles de l’autre ; papa s’occupait aussi des tétons et de la chatte de Justine : c’était le comble du bonheur. — Bien ! Nous allons vous laisser contempler le spectacle pendant que nous allons boire un coup. Tu viens, chérie ? dit-il à maman. Ils sortirent, fermèrent la porte à clé, nous laissant ainsi attachés dans cette pièce. Justine et moi nous sommes regardés, étonnés par la tournure que prenaient les évènements. Ils nous avaient bien caché leur jeu... Je me mis à détailler la pièce : nous étions attachés au plafond par les poignets emprisonnés dans des bracelets en cuir prolongés par des chaines, et les pieds au sol, également pris dans des bracelets. Comme éclairage, des bougies parfumées tentaient de masquer l’odeur de bois et de peinture. Au milieu l’établi, il y avait avant un tour à bois ; il était recouvert de coussins. Des anneaux étaient également fixés en bas des pieds. Je ne mis longtemps à comprendre qu’il était là pour attacher quelqu’un sur le ventre. Je m’imaginais déjà à plat-ventre dessus en train de prendre une fessée. Dans une armoire aménagée en penderie, des tenues noires étaient suspendues, mais je n’arrivais pas à distinguer ce que cela pouvait être. Après un bon moment, la ...